On a trouvé le fauteur, l’odieux responsable de la criminalisation de la communauté LGBT en Inde : le colonialisme ! En dépénalisant l’homosexualité qui n’est plus légalement une « relation charnelle contre nature », la cour suprême indienne a fait la victoire des lobbys LGBT et promu les droits gays. Elle a fait encore mieux en réussissant à stigmatiser le colonialisme, coupable civilisation occidentale puritaine (et surtout chrétienne), qu’elle déclare à l’origine du racisme fondamental anti-LGBT.
Un grand tour de passe-passe qui porte à croire à une Inde ancienne « gay friendly »… comme toutes ces civilisations païennes dont on dit aujourd’hui qu’elle étaient soi-disant « ouvertes » à l’homosexualité – ce qui permet en même temps de dénoncer le christianisme.
L’agenda libertaire en marche en Inde
« L’Histoire doit des excuses aux membres de la communauté LGBT et à leurs familles pour le retard apporté à réparer l’ignominie et l’ostracisme auxquels ils ont dû faire face au cours des siècles », a déclaré jeudi la Cour suprême. Et d’une, les relations homosexuelles ont été totalement dépénalisées. Et de deux, c’est sans doute le plus fort, l’homosexualité a été confirmée comme un état « complètement naturel » faisant partie de la sexualité humaine de toujours.
Une formation constitutionnelle de cinq juges a jugé à l’unanimité que la partie de l’article 377 du Code pénal indien érigeant en infraction les relations sexuelles consensuelles entre adultes de même sexe, en privé, violait le droit constitutionnel à l’égalité et à la dignité.
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