Steve Bannon, le stratège de la victoire de Donald Trump à la Maison Blanche, est venu faire un petit tour en Europe. Avec l’objectif d’y passer beaucoup de temps car estime-t-il « ici il y a l’avant-garde du populisme ». Or Bannon travaille à monter « un réseau du bas, une armée pour diffuser les idées du nationalisme économique, avant tout en Amérique mais aussi au niveau international ».
Écarté un temps de l’administration USA à cause de ses idées trop radicales, il semblerait être revenu dans les bonnes grâces de Trump dont il se déclare « être un grand partisan » et à qui « son armée » « apportera toujours son aide ».
En fin de semaine dernière, ce nationaliste américain était de passage à Rome pour « observer » et « apprendre » des élections italiennes. Il considère qu’elles pourraient être un tournant décisif dans la politique actuelle en ouvrant la voie aux mouvements « populistes » qui se rebellent contre Bruxelles, les politiciens du système et un establishment ultra-libéral qui génère du chômage.
Dans un long entretien au quotidien italien Il Corriere della Sera, Steve Bannon dévoile sa pensée sur ces élections italiennes, les mouvements anti-système, le pape François, le nationalisme.
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