Le monde des abeilles dont le mystère est dur à percer malgré les moyens modernes sophistiqués, constitue à lui seul, un motif plus que suffisant pour dénoncer la théorie évolutionniste darwinienne. Le simple fait de dire que le cerveau de l’abeille est aussi intelligent que celui des grands singes détruit l’enseignement de toutes les chaires universitaires d’anthropologie, sur ce sujet ; pourtant ce ne sera pas le cas ! Ils continuent tous à faire semblant de ne pas comprendre car l’erreur globale est si grande, si humiliante que plus personne ne peut reculer.
Les abeilles savent compter et reconnaître un visage humain
Une jeune chercheuse toulousaine reçoit mercredi un prix pour ses travaux sur les abeilles, qui ont montré leur capacité à accomplir des tâches complexes, comme compter ou reconnaître un visage humain.
Les abeilles sont fascinantes, dotées d’intelligence et capables d’accomplir des tâches complexe. C’est ce qu’Aurore Avarguès-Weber, 31 ans, chercheuse à l’université des Sciences de Toulouse, a démontré. Elle va recevoir, ce mercredi, un prix de la fondation L’Oréal-Unesco pour ses travaux sur ces insectes.
Les travaux réalisés dans le cadre de sa thèse ont permis de démontrer empiriquement « la grande capacité d’abstraction des abeilles: elles savent compter et reconnaître un visage », explique la scientifique.
Un cerveau pas plus grand que la tête d’une épingle
Placées à l’entrée d’un labyrinthe, les abeilles, a-t-elle pu observer, ont identifié différents signes représentés sur une cartographie et, après un rapide apprentissage, elles ont régulièrement choisi la sortie portant le signe menant à une récompense.
Malgré un cerveau pas plus grand qu’une tête d’épingle, les abeilles sont dotées « d’une bonne vision et d’une grande mémoire », ajoute-t-elle.
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