23.01.2018 - Soros reconnaît sa défaite dans la lutte contre la Russie

George Soros est l’un des rares russophobes éminents capables de reconnaître leurs fautes. L’oligarque américain, connu pour avoir «cassé» la banque d’Angleterre par le passé, avait pronostiqué la faillite de la Russie en 2017.

Et ce n'est pas arrivé. Parmi les politiciens et les experts médiatiques pour lesquels les prévisions négatives sur la Russie sont pratiquement une obligation, il est de mise de simplement reporter un peu la date de l'explosion si elle ne s'est pas produite au moment attendu. Quant à Soros, cet opposant de principe à la Russie met en pratique une vieille règle boursière: si les faits changent, il faut modifier son opinion. Le problème est que ce financier légendaire et maître des intrigues politiques a visiblement appris ces nouveaux faits sur la Russie dans la stratégie américaine de sécurité nationale — document qui a déjà scandalisé beaucoup de monde — dont les auteurs font de Moscou et Pékin les adversaires principaux de Washington.
Dans une interview accordée au quotidien d'affaires britannique The Financial Times, il a surpris tout le monde en changeant sa position sur la Russie. Qui plus est, il n'a évoqué Moscou que pour souligner l'état très grave de l'Union européenne. George Soros a gardé sa manière traditionnellement agressive de parler et annoncé que l'UE était une «organisation au bord de la dissolution» et que la Russie était, selon lui, une «puissance renaissante fondée sur le nationalisme».

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