06.01.2018 - La Chine communiste accroît son influence au sein de l’ONU et de la gouvernance mondiale sous les applaudissements des mondialistes occidentaux

Le saviez-vous ? Depuis novembre 2016, le président d’Interpol est le communiste chinois Meng Hongwei. En République populaire de Chine, il est vice-ministre chargé de la Sécurité publique ! La Chine communiste est un acteur très actif de la gouvernance mondiale et ses dirigeants prônent un rôle accru de l’ONU et des organisations internationales. Les mondialistes occidentaux applaudissent, comme lorsque la dictature chinoise a annoncé sa participation à la création d’une force de police permanente de l’ONU et d’une force internationale de maintien de la paix qui comptera 8.000 hommes et sera prête à intervenir à tout moment. Faut-il y voir une alliance entre communistes et mondialistes ? Après tout ils ont en commun au moins leur idéologie internationaliste… et peut-être même plus ?
 

Les plus grands mondialistes occidentaux vantent la Chine communiste depuis fort longtemps

L’idée peut paraître saugrenue au premier abord, mais Alex Newman, dans les colonnes du New American, apporte des éléments que l’on peut difficilement balayer du revers de la main. Le lecteur sceptique sur la possibilité d’une telle alliance entre communistes chinois et mondialistes occidentaux en faveur d’une gouvernance mondiale antidémocratique n’auront qu’à lire deux des textes proposés en lien par Newman. Le premier, disponible en ligne dans les archives du New York Times, est une apologie de la Chine communiste écrite en 1973 après un voyage en Chine par… David Rockefeller, le milliardaire américain fondateur du groupe de Bilderberg en 1954 et de la Trilatérale en 1973. David Rockefeller a aussi présidé le non moins mondialiste Council on Foreign Relations (CFR). La deuxième référence proposée par Newman est un article du très mondialiste et anti-Trump Foreign Report avec des citations révélatrices du milliardaire américain George Soros, selon lequel « aujourd’hui la Chine n’a pas seulement une économie plus dynamique mais aussi un gouvernement qui fonctionne mieux que celui des États-Unis ». N’est-il pas ironique de voir Soros, l’homme-lige des Rothschild soutenir d’un côté financièrement les mouvements d’opposition aux gouvernements démocratiques conservateurs et anticommunistes de l’ex-Europe de l’Est, en Pologne et en Hongrie, et considérer d’un autre côté que le gouvernement dictatorial de la Chine communiste est meilleur que le gouvernement élu des États-Unis d’Amériques ? De tels propos ne l’empêchent pas d’être reçu en personne par le président de la Commission européenne et par les différents commissaires européens quand il le désire.

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