Le Parti québécois est au «pied de la pente», reconnaît Jean-François Lisée, qui mise sur l’indépendance pour relancer sa formation politique à la traîne dans les sondages d’opinion.
« Dans l’histoire du PQ, ce n’est pas la première fois qu’on est au pied de la pente. L’escalade fait partie de l’ADN du parti », a lancé le chef péquiste dimanche lors d’un point de presse en marge d’une rencontre préélectorale entre l’exécutif national du parti, les élus et les présidents de région.
Dans un discours devant les principaux dirigeants du parti, il a soutenu que la raison numéro un pour appuyer le PQ est de « faire l’indépendance ».
« Si on veut faire l’indépendance, il faut prendre le train du Parti québécois en 2018 », a indiqué celui qui avait pourtant promis, lors de son élection comme chef, de mettre en veilleuse l’option politique s’il prenait le pouvoir. Sa promesse de ne pas tenir de référendum dans un premier mandat reste, mais il martèle qu’il doit préparer son objectif référendaire de 2022.
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