Note du Bonnet : Nous félicitons nos confrères de chez Vigile pour cette victoire !
Au cours des dernières années, Vigile vous a sollicités à plusieurs reprises pour obtenir votre soutien financier dans les poursuites intentées contre nous pour nous intimider et limiter notre droit de parole en prétextant diffamation.
Grâce au soutien que vous nous avez généreusement offert, nous sommes parvenus à repousser ces attaques et à neutraliser nos adversaires. Non seulement ne sont-ils pas parvenus à nous ébranler, mais nous sommes parvenus à les malmener assez durement.
Ils n’ont sûrement pas apprécié leur expérience alors qu’ils s’imaginaient au départ ne faire de nous qu’une bouchée.
La première poursuite
Dans le premier cas qui remonte à 2010, il s’agissait d’une poursuite visant Vigile, son ancien éditeur décédé en cours de procédures, Bernard Frappier, le webmestre de Vigile au moment des faits et fils du précédent, Érick Frappier, et le soussigné, pour la publication d’un article prétendument diffamatoire évoquant les liens du demandeur avec la mafia selon une information publiée par Le Soleil.
Le fait pour le demandeur de s’en prendre à Vigile, aux Frappier et au soussigné plutôt qu’au journal Le Soleil, alors dans le giron de Gesca, une filiale de Power Corporation et de l’Empire Desmarais dont la capacité de payer des dommages-intérêts était infiniment supérieure à celle de Vigile et du soussigné nous mit immédiatement la puce à l’oreille.
La véritable motivation du poursuivant était-elle la réparation du préjudice prétendument subi, ou était-il au service d’une cause ou d’intérêts politiques ? Nous allions être assez rapidement fixés.
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