La flambée de violence que connaît actuellement le nord de la Birmanie est l’épiphénomène d’une crise multidimensionnelle profonde qui implique de nombreux acteurs géopolitiques, ont affirmé à RT des experts de cette région du monde.
Les intérêts personnels du milliardaire George Soros, la découverte de nouveaux gisements en Arakan ou encore l'intention de certaines forces de souffler sur les braises de l'extrémisme musulman en Birmanie expliquent, entre autres, l'escalade des violences dans ce pays, affirment plusieurs experts interrogés par RT.
Selon Dmitry Mosyakov, directeur du Centre d'étude sur l'Asie du Sud-Est, l'Australie et l'Océanie de l'Institut d'études orientales de l'Académie des sciences de Russie, le conflit aurait au moins trois dimensions.
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