30.11.2014 - Les « catholiques » libéraux sont des gens malades d’être catholiques

Ils sont malades d’être catholiques. Ils veulent se dire catholiques mais ils en sont malades. Ils voudraient être avec les autres, avec, c’est malheureux ! la liberté ! la liberté ! voyez tous ceux qui cherchent la liberté, nous on a tellement besoin de cette liberté, mais voyons, on peut pas se passer de ça, alors ce sera contre le Règne de Notre-Seigneur, ce sera contre la volonté de Notre-Seigneur, ce sera contre la loi morale, oui, oui, oui, mais qu’est-ce que vous voulez, l’homme moderne, l’homme moderne, l’évolution… et les voilà partis et ils sont la courroie de transmission entre le vrai catholique, le catholique de toujours, l’Eglise et puis les ennemis de l’Eglise.

Il y a qu’à voir ces libéraux qui partout, partout, font glisser les états catholiques vers le socialisme. Ils ont beau au moment où ils voient qu’ils sont en train de sombrer avec le socialisme et le communisme, ils se reprennent un peu parce qu’ils ont peur, mais ils deviendront de nouveau malades de ne pas être à gauche, de ne pas redescendre de nouveau, de ne pas redescendre de nouveau avec les autres, alors ils reglissent de nouveau, ils reglissent de nouveau, ils reglissent de nouveau, jusqu’au moment où on se dit attention, attention, voilà le communisme qui arrive, voilà le désordre, l’anarchie, les brigandages, les vols et tout ça, la technocratie, plus de liberté, le socialisme nous enserrent, ils essaient de se répandre un peu mais comme ils ne veulent pas des principes catholiques, comme ils ne veulent pas du règne social de Notre-Seigneur Jésus-Christ, comme ils ne veulent pas de principes fermes et définitifs que notre Seigneur établi, de cette vérité catholique de toujours, alors les voilà et ils glissent toujours et ils entraînent avec eux tout ce qu’il y a dans l’état, et maintenant cette maladie est passée dans l’Eglise.

Et c’est venu je crois, M. Ploncard d’Assac le disait d’une manière très juste que le mal qui se fait actuellement dans l’Eglise est venue par une politique depuis un siècle et demie que nous vivons cette politique inspirée de principes maçonniques, de principes libéraux ça finit par pénétrer l’Eglise et maintenant l’Eglise en est pourrie, faut le dire, pourrie, de ces principes là alors maintenant c’est l’Eglise elle-même qui a comme honte d’être catholique ! honte d’être catholique ! et qui veut passer à l’ennemi.

Voyez c’est honteux, on a honte de penser qu’il y a encore un état catholique, on ne peut avoir dans un état ca-tholique un privilège, c’est ce que m’a dit le nonce de Berne il y a 15 jours, il y a 15 jours il m’a dit ça. Il m’a dit, vous comprenez, c’est pas possible, l’Eglise catholique peut pas avoir de privilèges quand même ! des privilèges ! parce que je lui disais mais enfin avec votre schéma de la liberté religieuse, avec votre…, il me critiquait, vous être contre le Concile, vous être contre le Concile, donc vous être contre le pape.

Je lui dit mais bien sûr, je suis contre le Concile, au nom du Concile vous détruisez tous les états catholiques, au nom du Concile, au nom de la liberté religieuse, vous faites supprimer tous les états catholiques et vous demandez que dans les constitutions des états catholiques on supprime le premier article qui est que notre…, que la religion catholique est la seule religion reconnue dans cet état, j’ai dit vous l’avez fait en Colombie.

Vous savez ce qu’il m’a répondu, « mais en Suisse aussi ! » Alors j’ai dit c’est vous qui avez collaboré à la destruction de l’état catholique du Valais ? – oui ! – mais alors j’ai dit qu’est-ce que vous faites de… du Règne social de Notre-Seigneur ? – Il est plus possible, il est plus possible le Règne du Sei-gneur, on peut plus concevoir le règne social de Notre-Seigneur, c’est pas possible.

J’ai dit « mais alors, il peut plus y avoir de règne catholique. – Mais non ! c’est pas possible on peut pas donner de privilèges à l’église catholique. Des privilèges à l’église catholique ? – Alors Notre-Seigneur n’est pas Roi pour vous et qu’est-ce que vous faites de l’encyclique Quas Primas ? – Oh ! Le pape ne l’écrirait plus. »

Voilà ce que m’a dit le nonce il y a 15 jours, or vous savez un nonce c’est, il ne sait rien, il ne dit rien par lui-même, un nonce c’est simplement le… l’appareil télé-phonique qui est au bout du fil qui est à Rome. Ils ne savent rien, ils ne disent rien, qu’ils ne savent de Rome et qui n’entendent à Rome.

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