Les événements de dimanche à Québec ont pris tout le monde par surprise... sauf ceux qui suivent attentivement les agissements de la gauche fédéralo-multiculturello-mondialiste depuis quelques années.
Alors que tous les yeux étaient braqués sur La Meute, cette quasi-milice prétendument d’extrême-droite constituée surtout d’anciens militaires et policiers dans l’attente (l’espoir ?) de la voir en venir aux mains avec les partisans de l’immigration massive et de l’accueil à tout-va de tous les réfugiés de la terre et de leur famille au titre de la réunification des familles, ce sont les manifestants immigrationnistes qui se sont rendus coupables d’actes de violence contre des personnes et des biens.
J’ai eu l’occasion de préciser dans mon éditorial vidéo précédent en quoi cette politique d’immigration massive et d’ouverture sans restriction aux réfugiés illégaux défendue par les premiers ministres Trudeau et Couillard, et les maires Coderre et Labeaume constituait une aberration indécente sur le plan économique, et en quoi elle se trouvait à pénaliser lourdement tous les Québécois, y compris les immigrants déjà établis chez nous de plus ou moins longue date.
Mais il y a plus grave encore.
L’arrivée soudaine des réfugiés aux portes du Québec n’est pas fortuite. Elle est le fruit d’une planification orchestrée depuis plusieurs mois par le gouvernement Trudeau et la fondation Open Society du milliardaire George Soros, connu pour son activisme politique sur la scène internationale et son soutien aux initiatives de déstabilisation et de renversement des gouvernements qui ont le malheur de lui déplaire, y compris le gouvernement actuel des États-Unis.
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