08.08.2017 - Immigration massive en Europe : la bataille d’Italie a commencé

L’Italie est le lieu d’une bataille déterminante pour l’avenir de l’Europe. Les mensonges entretenus par les élites depuis que l’invasion a commencé en 2014 éclatent au grand jour, provocant une insurrection populaire qui engendre une certaine réaction des autorités, dans la plus grande confusion.
 
Tout fait de l’Italie l’un des principaux points stratégiques de l’invasion de l’Europe par les migrants. Sa situation géographique : elle est toute proche de l’Afrique, et la route des Balkans est à demi fermée depuis l’accord de 2016 avec la Turquie. Sa couleur politique : le premier ministre Paolo Gentiloni incarne parfaitement le centre gauche mondialiste, atlantiste et européiste. Sa fragilité économique, qui la rend souple aux désirs de la haute finance et des institutions internationales. La présence à Rome enfin d’un pape altermondialiste fanatique de « l’accueil » des migrants sans frontières. En prime, une natalité très faible fait de l’Italie un pays moribond du point de vue démographique et un boulevard pour l’invasion. 85 % des migrants officiellement arrivés en Europe depuis le premier janvier et recensés par l’organisation internationale pour les migrations sont passés par l’Italie.
 

L’Italie, porte de l’Europe pour l’invasion, refuse toute aide

 
C’est pourquoi le groupe de Višegrad, qui comporte la Pologne, la Hongrie, la Tchéquie et la Slovaquie, a proposé son aide à Rome pour bloquer la route méridionale de l’invasion des migrants, comme il l’a fait en 2016 avec l’Autriche, ce qui a permis de couper la route orientale, le flux venant de Grèce. Il a proposé par lettre au président du Conseil italien de contribuer financièrement à la surveillance de la frontière méridionale de la Libye, à l’entraînement des garde-côtes libyens et la création hors d’Europe de ce qu’on appelle des « hot spots ». Ce sont des camps de tri pour migrants permettant de séparer les faux réfugiés des vrais – Macron avait fait une promesse analogue pendant la campagne présidentielle. Paolo Gentiloni l’a pris de très haut dans son refus : « Nous n’avons pas de leçons à recevoir ». Il faut dire qu’il se sent un peu seul. En dépit des menaces adressées aux gouvernements d’Europe centrale, Bruxelles est impuissante à imposer sa politique des quotas. Et, en juillet, l’Autriche a menacé l’Italie de déployer son armée à leur frontière commune pour bloquer les migrants illégaux.
 

L’Europe bataille contre les populistes, pas contre les migrants

 
Les élites qui organisent l’invasion de l’Europe sont en train de perdre la bataille de l’information. Dès le début en 2014 de ce qui fut appelé la « crise des migrants », les « populistes » et l’« extrême droite » ont remarqué que les prétendus réfugiés étaient en grande majorité des hommes jeunes, migrants économiques, dangereux à bien des égards. Les médias et les politiques l’ont nié mais toutes ces vérités ont été établies depuis. Dès le 24 septembre 2015 le Monde reconnaissait par exemple que, selon les statistiques officielles de l’ONU, 72 % des migrants étaient des hommes.

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