C’était jour d’élection hier aussi en Italie. Les transalpins allaient aux urnes pour élire leurs nouveaux maires.
Un signal fort contre l’actuelle politique immigrophile du gouvernement italien a été donné par les habitants de l’île de Lampedusa, une des premières destinations des migrants méditerranéens.
Malgré le soutien inconditionnel du pape François et de l’ancien président des États-Unis, Barak Obama, malgré son Prix Nobel pour la paix qui lui fut donné par l’Unesco, la mairesse sortante, Giusi Nicolini, membre du Parti Démocrate, très bobo-gaucho, perd son fauteuil. Les Lampédusiens l’ont rejetée et sa politique d’accueil à outrance avec.
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