Les droits transgenre ne suffisent plus. Il faut aujourd’hui pouvoir varier, exprimer sa « fluidité de genre ». Et non, vous ne rêvez pas : cela est devenu « réalité » au Royaume-Uni où un policier est devenu le premier « constable » du « genre fluide », qui a le droit d’utiliser son « identité » masculine ou féminine au travail selon son bon plaisir, en un infernal travestissement du sens du mot identité. Tantôt il s’appelle Callum, lorsqu’il se sent homme, et tantôt il s’appelle Abi, lorsqu’il se sent femme. Il a d’ailleurs deux cartes d’identité professionnelle, l’une à son nom d’homme, l’autre à son nom de femme.
La fluidité de genre se « définit » comme une identité de genre qui se rapporte à un genre variant avec le cours du temps, comme le dit de manière alambiquée le Telegraph de Londres. Une personne « gender-fluid » peut à n’importe quel moment s’identifier comme mâle, femelle, neutre, ou afficher n’importe quelle autre « identité non binaire », voire une combinaison d’identités. Ce genre peut varier au hasard ou encore varier par rapport à des circonstances différentes. C’est la négation ultime du principe d’identité.
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