Ces dernières semaines, l'hégémonie libérale au Québec commence à montrer des signes de fatigue. La collectrice de fonds Violette Trépanier «croule sous les piassesssss», un député encore en fonction du PLQ serait à la solde du crime organisé, l'ex-premier ministre Jean Charest fait l'objet d'une enquête policière, la tempête que traverse le gouvernement de Philippe Couillard ne semble jamais vouloir se terminer. Il faut croire qu'après quinze ans de vol et de magouilles, le Québec cessera peut-être d'être un régime de parti unique. Peut-être...
L'indifférence qui gangrène actuellement le Québec est si bien implantée, si bien entretenue par le parti unique au pouvoir, que de s'en départir sera un pas de géant vers l'avant pour la société québécoise tout entière.
L'indifférence qui gangrène actuellement le Québec est si bien implantée, si bien entretenue par le parti unique au pouvoir, que de s'en départir sera un pas de géant vers l'avant pour la société québécoise tout entière. Une population grandissante de citoyens a baissé les bras, a capitulé, et croit maintenant que tous les partis sont les mêmes, qu'ils sont tous corrompus à la moelle comme le Parti libéral et que de remplacer l'oligarchie qui ravage le Québec depuis quinze années déjà ne changerait rien à la piteuse situation. Pourtant, tous les scandales qui sortent dans l'actualité ne touchent qu'un seul et même parti, le Parti libéral du Québec. Face à ces faits accablants, on s'obstine toujours à renouveler son abonnement au Parti libéral et à réélire le plus grand réseau de crime organisé au Québec avec une toujours plus oppressante majorité.