13.05.2017 - Macron et l’hymne à l’Union Européenne

Entre deux scandales au PLQ et trois salamalecs du PQ devant la gauche diversitaire, la vie politique française nous offre ces temps-ci une joyeuse et salvatrice évasion. Le peuple de France est bien vivant, bien plus, il me semble, que le peuple d’ici qui, lui, semble s’endormir plus que jamais dans sa cage dorée. Dimanche dernier sonnait la fin de la campagne en vue de l’élection du 7ième président de la Ve République. Le premier tour avait balayé le paysage politique des partis traditionnels. La gauche allait voir Benoit Hamon, alors candidat du Parti Socialiste, défait avec un pointage historiquement bas. La droite, quant à elle, allait voir François Fillon, candidat du parti « Les Républicains », peiner à atteindre le seuil des 20 points.

 

Les deux semaines qui séparaient le vote du premier tour de celui du second tour ne furent pas de tout repos. Politiciens, commentateurs, analystes : tous arrivaient à dresser le même portrait de la scène politique. Le second tour se jouait entre « la candidate d’extrême-droite Marine Le Pen » et « le centriste Emmanuel Macron ». Sans surprise, c’est Emmanuel Macron qui, au terme de l’exercice, a été couronné président. Les suffrages ont en effet porté ce dernier au pouvoir avec environ deux tiers des appuis, alors que Marine Le Pen devait récolter le tiers restant.

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