Le cours d’éducation sexuelle cogne aux portes de nos écoles, et certains parents religieux se sont mis à avoir peur, ou bien à faire peur aux autres.
«Je suis inquiète, me dit une maman, dans quel monde mes enfants vont-ils grandir?»
Je sais. Faudrait que je saute aux barricades, que je manifeste devant le parlement, et que le jour venu, je sorte mon enfant de la classe.
En vérité, je vous le dis: Been there, Done that, Got the T-shirt.
Quand le cours d’Éthique et de culture religieuse (ECR) a été implanté, malgré 4 ans de lutte acharnée, on a compris deux choses: les parents (chrétiens ou non) avaient perdu leur prérogative dans l’éducation de leurs enfants.
Je ne sais pas pour les autres, mais moi, je ne m’en suis jamais remise.
Le rouleau compresseur
Malgré ses bonnes intentions apparentes et ses bons sentiments humanistes, ce cours* adopte en tous points l’idéologie à la mode du jour, le gender, laquelle pense qu’une personne s’autodétermine et se crée elle-même, selon son ressenti ou sa perception.
Ainsi, notre nature créée et sexuée, par l’Autre et pour l’autre, est bel et bien écrasée sous ce rouleau compresseur idéologique que personne (ou presque) ne peut stopper pour l’instant.
Selon cette idéologie, il faut croire et faire croire que l’Homme s’épanouit pleinement si ses « besoins » biologiques, affectifs, sentimentaux et psychologiques sont assurés.
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