01.05.2017 - La guerre au terrorisme passe par un soutien à Bachar et aux Russes

Les Russes ont raison : les Américains ont attaqué un pays indépendant, membre de l'ONU, en même temps qu'un des principaux adversaires des islamistes qui viennent poser des bombes en Occident au nom de la guerre totale. Quand les Américains attaquent Bachar et les Russes sur la scène internationale, ils s'en prennent à des gens qui, sur le terrain, mènent le combat contre ces islamistes radicaux.. C'est une réalité bien concrète, et ce quoiqu'on puisse penser du régime de Bachar El Assad, qu'on l'aime ou non.

Les Américains ont par la suite attaqué Raqqa pour faire oublier qu'ils négligent la guerre au terrorisme dans cette région. Il n'y a pourtant pas d'autre moyen de battre le terrorisme que d'abattre les djihadistes au Moyen Orient.

Le fléau ne date pas d'hier, mais les États-Unis ont confondu la défaite d'un régime dictatorial, comme du temps de Saddam Hussein en Irak, avec le peu de souci de combattre au côté d'un allié contre le terrorisme.

Les pertes civiles sont tout à fait déplorables, mais les Américains ont inventé le mot pour les décrire : « dommages collatéraux ». Et il m'est pénible de voir mourir des Syriens innocents sous les bombes, mais il m'est tout aussi choquant de voir des Syriens innocents mourir égorgés par les fascistes islamistes dont Bachar veut délivrer son peuple.

Ce ne sont pas des enfants de cœur. Encore récemment, ils précipitaient un homosexuel du haut d'un édifice.

Source : pcq.qc.ca

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