Le conseil économique et social de l’ONU a élu l’Arabie saoudite membre de sa commission du droit des femmes pour une période de quatre ans commençant en 2018. Cela suscite une réflexion sur le statut des femmes en Arabie saoudite, à l’ONU et chez nous.
Pour nous changer de Macron, voici une autre pitrerie, internationale, celle-ci. On connaît le sort des femmes en Arabie saoudite. S’il devait être étendu à tous les pays représentés à l’ONU, cela satisferait une bonne palanquée de machos refoulés et de pervers discrets. Là-bas, le mariage des vieux messieurs avec les fillettes de neuf ans est encore licite. Les femmes y sont éternellement mineures, de jolis voiles noirs sont le signe de leur soumission et de leur décence, elles ne conduisent pas, ne manifestent pas bêtement dans la rue. Il leur arrive de faire des études, et même de travailler hors de leur maison, mais elles demeurent dépendantes de leur père puis de leur mari.
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