Selon un expert australien des troubles du genre, on assiste actuellement au sur-diagnostic du « transgenrisme » parmi les adolescents et même les enfants, soit par précipitation soit parce que les jeunes en question se conforment à cette nouvelle tendance par désir d’être à la mode et pour attirer l’attention. Le psychiatre Stephen Stathis note que la plupart des jeunes – jusqu’aux trois quarts d’entre eux – sortiront naturellement de cette phase. Pas si simple avec un diagnostic officiellement posé : il encourage l’enfant à rester dans sa « dysphorie » et le cas échéant il sera soumis à des traitements.
Ces 75 % de faux transgenres « présentent des goûts et des comportements non conformes à leur genre, ou une diversité de genre », explique-t-il. « On peut se trouver face à une fillette de 6 ou 7 ans qui veut s’habiller comme un garçon. Elle pourra même dire qu’elle veut être un garçon. Mais lorsque la puberté arrive, elle dira : “Non, je suis simplement une fille qui aime faire des trucs de garçon” ». Les garçons manqués ne datent pas d’hier !
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