Au mois de mars, la coalition US a fait un nombre record de victimes civiles en Syrie et en Iraq et a lourdement affligé ce citoyen irakien. La seule réjouissance qu'il puisse trouver, c'est d'avoir pu sauver sa fille Awra, blessée dans une des frappes mais ayant miraculeusement survécu.
Le 17 mars, la maison d'un habitant de Mossoul, Ala'a Ali, âgé de 28 ans, qui vit dans le quartier d'al-Jadida avec sa femme et sa fille de 4 ans, a été frappée par une attaque aérienne des forces de la coalition internationale dirigée par les États-Unis qui y combattent les terroristes de Daech.
« Je me suis caché dans le coin du bâtiment, et la fumée a pénétré par les fenêtres. L'odeur m'a frappé, et je pouvais à peine respirer », a raconté M. Ali au site The Intercept.
l a rappelé que dès qu'il avait pu, il était retourné sur les lieux de l'explosion. Sur la place de la maison où il avait laissé sa famille, il a vu des cadavres qui traînaient partout dans les ruines du bâtiment.
Ce jour-là, selon diverses informations, l'attaque américaine a coûté la vie à 200 personnes, y compris celle de la femme d'Ali. Sa fille de 4 ans, Awra, a miraculeusement survécu à ce bombardement. Mais son corps était noir de brûlures sévères, tandis que des éclats d'obus ont percé à travers le côté de sa tête, lacérant son visage et lui blessant les yeux.
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