Nouvelle tentative pour accuser le gouvernement d'Assad d'avoir gazé son peuple alors que Damas s'est dépouillé en 2014 de tous ses arsenaux chimiques?
Les médias de la région et les agences de presse occidentales font état d'un " bombardement chimique" mardi à Idlib, citant l'OSDH, vitrine médiatique de l'opposition syrienne pro-occidentale qui siège à Londres. Selon l'AFP, " des dizaines de personnes auraient été blessées dans ce bombardement" que l'agence tente d'attribuer à l'aviation syrienne.
Toujours selon l'AFP qui cite " les sources hospitalière à Idlib", " les blessés manifestent des signes de suffocation", ce qui est " la preuve du recours à l'arme chimique".
Aussitôt après l'annonce de cette information, l'armée syrienne a émis un communiqué où elle rejette " fermement" toute implication " dans des raids contre Khan Cheikh", une localité d'Idlib contrôlée par des terroristes takfiristes, anticipant ainsi sur de nouvelles allégations que l'Occident et ses alliés arabes ne tarderaient pas à formuler à son encontre. La soi-disant opposition vient d'ailleurs d'appeler le Conseil de sécurité d'ouvrir une enquête, pointant de doigt le rôle supposé de "l'aviation syrienne ou russe dans ce raid".
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