23.03.2017 - La maladie progressiste

Nous n’avons pas fini d’entendre parler de lui. Gabriel Nadeau-Dubois, maintenant officiellement candidat dans Gouin, comté qu’a décidé de lui laisser le Parti Québécois en n’y présentant aucun candidat, fait déjà les manchettes grâce à une première énormité sortie de sa bouche. Pendant que Véronique Hivon lui crie, enthousiaste, un grand « Bienvenue! » pathétiquement jovialiste, le possible futur porte-parole de Québec Solidaire, en plus de fermer la porte à la convergence à laquelle rêve Jean-François Lisée, s’évertue à affirmer que les politiciens des 30 dernières années ont « trahi le Québec ». Qui donc est ici le traître?

 

Si Gabriel Nadeau-Dubois nous invite à chercher des traîtres à la nation, peut-être devrait-il chercher du côté du progressisme maintenant vendu au mondialisme, à l’ultra-libéralisme et de la gauche boudeuse qui refuse tout compromis politique au nom de la pureté idéologique. C’est cette maladie progressiste qui gangrène actuellement le Québec, qui l’empêche de grandir et de continuer le mouvement d’émancipation qui avait succédé à la survivance – salvatrice survivance, rappelons-le – débutée après la pendaison des patriotes.

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