30.01.2017 - Trump : le 11-Septembre, ça suffit !

Donald Trump a refusé d’endosser les habits présidentiels de ses prédécesseurs et a consacré son discours d’investiture à brocarder le Système et à annoncer un changement de paradigme. Il a constitué son équipe de Sécurité autour de deux thèmes : l’éradication de Daesh et l’opposition au 11-Septembre ; deux caractéristiques qui visent à mettre un terme au processus de globalisation.

Le président Donald Trump a été investi, le 20 janvier 2017. Alors qu’il venait juste de prêter serment et n’a donc pas pu faire quoi que ce soit de bien ou de mal, les sponsors d’Hillary Clinton ont organisé le lendemain une gigantesque manifestation contre lui à Washington.

Preuve que ce qui est en jeu ne concerne pas uniquement les États-Unis, des manifestations identiques ont eu lieu dans de nombreux pays, notamment au Royaume-Uni. Bien sûr, les manifestants ne réagissent à aucun acte en particulier, mais se contentent d’exprimer leur angoisse. Beaucoup portaient des pancartes : « Je suis terrifié ».

Donald Trump, que ses adversaires présentent comme un personnage fantasque, dépourvu de ligne de conduite, a indiqué depuis longtemps ce qu’il compte faire. Il l’a d’abord montré, puis l’a dit, de manière à la fois allusive et claire : il entend restituer au Peuple états-unien le Pouvoir qui lui a été confisqué le 11 septembre 2001 [1].

Avant même de se lancer dans la compétition électorale, Donald Trump a tenté d’ouvrir le dossier de ce Pouvoir usurpé en sponsorisant le mouvement pour la vérité sur la naissance du président Barack Obama [2] Il a montré, en s’appuyant sur le témoignage de la grand-mère du président, puis sur l’absence d’enregistrement dans les registres d’Hawaï, puis encore sur les irrégularités du certificat officiel, que celui-ci est né sujet de la Couronne britannique au Kenya. 
Pourtant, au cours de la campagne électorale, lorsqu’il a acquis l’impression qu’il pouvait la gagner, il a clos ce dossier et s’est abstenu de toute provocation à l’égard du président. Il a cessé toute allusion à la dyarchie du Pouvoir. Il a par contre concentré son message sur l’usurpation du Pouvoir réel par une coterie dont Hillary Clinton est la porte-parole visible.

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