21.01.2017 - George Soros organise sa succession : son fils Alexandre un idéologue comme lui

Alexandre Soros, l’un des fils du milliardaire George Soros, est fortement pressenti pour prendre la direction de l’empire financier de son père, âgé aujourd’hui de 86 ans. D’après le MRC (Media Research Center, observatoire conservateur des médias), Alexandre Soros, la trentaine, gère déjà en grande partie la fortune paternelle, estimée à 25 milliards de dollars. Idéologue comme son père, il a versé l’année dernière plus de 4,5 millions de dollars au Parti démocrate pour financer ses campagnes et ses comités d’action. Avec son frère Jonathan, 42 ans, Alexandre Soros s’annonce comme le choix idéal pour prendre la succession de son père – et la gauche américaine peut être tranquille pour quelques décennies.
 
« Alexandre Soros, explique Dan Gainer, vice-président du MRC, a toujours soutenu les grandes causes progressistes de l’aile gauche, comme le changement climatique ou la justice sociale ; certes, ils s’est totalement trompé à propos des élections de 2016… mais il a les épaules bien assez larges pour soutenir financièrement de nombreux autres candidats et institutions. »

Alexandre, fils de George, se prépare à la succession

Il y a dix ans encore, Alexandre Soros ressemblait plutôt à un fils-à-papa, un enfant riche qui gaspillerait sa vie. Mais un beau jour le New York Times dévoila que le jeune homme venait de se voir céder le contrôle d’une grande partie de la fortune de son père, pour l’utiliser comme il l’entendait.
 
Son premier soutien financier octroyé en 2012 devait bénéficier à la fondation Bend the Arc, (Association Juive pour la Justice, mouvement ouvertement progressiste). Cette année-là, il subventionna une association promouvant le vote Obama auprès des juifs âgés. Au total, il contribua en 2012 quelque 400.000 dollars à des causes et des campagnes de gauche.
 
Entré au conseil d’administration de l’Open Society Foundation, Alexandre Soros apprit comment répartir l’argent pour venir en aide aux causes progressistes chères à son père. « Global Witness », par exemple, dont le but est de « briser le lien entre exploitation des ressources naturelles, conflits, pauvreté, corruption et violation des droits de l’homme, partout dans le monde. »

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