lundi, 30 janvier 2017 09:05

Le président Trump ordonne au FBI de mener un raid à grande échelle au siège du Centre for Disease Control

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Traduction par William

Un superbe rapport du Service de renseignement extérieur russe (SVR) circulant au Kremlin aujourd’hui révèle que quelques heures seulement après que le président Donald Trump et le directeur du FBI James Comey « se soient donné une chaleureuse accolade » à la Maison Blanche hier, des agents du FBI ont mené tôt le matin une perquisition à grande échelle au siège du Center for Disease Control and Prevention (CDC) basé à Atlanta, en Géorgie, accompagnés par le docteur-chercheur William Thompson - qui est l'un des dénonciateurs du gouvernement les plus redoutés aux États-Unis pour son exposition de la dissimulation du lien entre un vaccin pédiatrique et l’autisme.   [Note: Quelques mots et / ou expressions apparaissant ici entre guillemets sont des traductions approximatives des mots ou expressions russes n’ayant pas d'équivalent exact en anglais.]

Selon ce rapport (et comme nous l'avons rapporté précédemment ), il y a près d'une quinzaine de jours, le président Trump a nommé l’activiste anti-vaccin Robert F. Kennedy Jr. président du Groupe de travail d’or sur la sécurité des vaccins, dont le manifeste cinglant intitulé MERCURY & VACCINES avait choqué les élites libérales en Amérique qui ont depuis des décennies délibérément empoisonné des millions d'enfants, tandis que dans le même temps, en 1986, le président Clinton [24-1-2017 correction: le président Reagan] avait signé une loi appelée National Childhood Vaccine Injury Act of 1986 qui éliminait toute responsabilité des fabricants pharmaceutiques pour leur complicité dans ce crime contre l'humanité.

Presque immédiatement après que le président Trump eut nommé Robert F. Kennedy Jr. à la tête de ce groupe de travail sur les vaccins et l'autisme, continue ce rapport, il a ensuite demandé à Sally Yates  de devenir le procureur général par intérim du ministère de la Justice (DOJ) le 20 janvier dès qu’il entrerait en fonction – ce qu’elle accepta, pour presque immédiatement après retourner dans sa ville natale d'Atlanta où elle constitua en secret un Grand jury.

Le lien entre la procureur général par intérim Yates et le président Trump, détaille ce rapport, passe par son « association / emploi » avec le géant juridique international King & Spalding , qui de son côté avait créé en juin 2014 un partenariat appelé Health Care and Life Sciences en collaboration avec le mastodonte juridique de Trump, le très craint cabinet international privé d'avocats Jones Day – cela seulement trois mois après que Trump ait tweeté une série d'avertissements cryptiques sur les vaccins disant:

« Si j’étais président, j’insisterais pour des vaccinations appropriées, mais ne permettrais pas les injections uniques massives qu’un enfant ne peut encaisser - AUTISME. » - 27 mars 2014

« Un jeune enfant en bonne santé va chez le médecin, reçoit une injection massive de nombreux vaccins, ne se sent pas bien et change - AUTISME. Beaucoup de ces cas! » - 28 mars 2014

Et trois mois après la création du partenariat Health Care and Life Sciences de King & Spalding et Jones Day, note ce rapport, Trump tweeta encore:

« J’avais raison au sujet des vaccins-massues – les médecins ont menti. Sauvez nos enfants et leur avenir. » - 3 septembre 2014

Trump a pu proclamer qu'il avait raison sur le lien entre les vaccins et l'autisme en septembre 2014, explique le rapport, parce que le partenariat King & Spalding - Jones Day Health Care and Life Sciences avait le mois précédent dévoilé en le protégeant le dénonciateur du CDC, le Dr. William Thompson.

Le Dr. Thompson admettant aux avocats de Trump qu'il avait travaillé sur des « chiffres truqués » pour réduire le nombre d'enfants noirs affectés négativement par un certain type de vaccin, témoignant sur la façon dont le CDC avait commis une fraude scientifique en manipulant les données de l'étude pivot qui montraient une corrélation entre le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) et l'apparition de l'autisme et révélant à l’aide de documents confidentiels soustraits au CDC la façon dont furent détruites toutes les preuves prouvant le lien vaccin-autisme, poursuit le rapport, il avait été rapporté au début de 2015 que le régime Obama lui avait accordé une protection, mais cela n'a jamais été prouvé.

Soulevant le soupçon que le Dr. Thompson n'a pas été protégé par le régime Obama, ce rapport explique que juste avant l'élection présidentielle américaine de 2016 qui a amené le président Trump au pouvoir, le directeur du CDC le Dr. Tom Frieden a empêché le Dr. Thompson de témoigner sur la fraude scientifique et la destruction de preuves par des hauts fonctionnaires du CDC dans les études de sécurité vaccinale critiques concernant la relation de causalité entre les vaccins pédiatriques et l'autisme.

Immédiatement après sa prise du pouvoir le 20 Janvier, cependant, note ce rapport, le président Trump a limogé le Dr. Tom Frieden et installé la contre-amiral Dr. Anne Schuchat comme chef par intérim du CDC - elle et le Dr. Thompson étant les deux seuls témoins présentés le samedi (21 janvier) au Grand jury secret d’Atlanta convié en audience par la procureur général intérimaire Yates.

Il est évident que ces délibérations secrètes du Grand jury ont permis au procureur général par intérim Yates d’obtenir un mandat autorisant le raid massif mené par le FBI sur le siège du CDC au petit matin du 23 janvier (03h00 côte Est des États-Unis), poursuit ce rapport, bien que le rapport du SVR sur ce sujet précis soit d’un degré de confidentialité plus élevé que ce que ce rapport général permet de mentionner.

Le rapport conclut en incluant des informations du ministère de la Santé (MoH) russe à ce sujet que nous avions précédemment résumées en déclarant :

Le point de vue du président-élu Trump sur le lien entre les vaccins pédiatriques et l'autisme sont connus depuis longtemps, comme quand il le déclarait à CNN lors d'une entrevue en mai 2016 :

« L'autisme est devenu une épidémie ... Parce que vous amenez un bébé, et je l'ai vu, et je l’ai vu, et je me suis assuré que mes enfants soient pris en charge, sur une longue période de temps, sur deux ou trois ans, ils ont reçu les mêmes quantités, mais vous prenez ce petit beau bébé, et vous pomper - je veux dire, on dirait une dose de cheval, pas pour un enfant , et nous avons eu tant de cas, des gens qui travaillent pour moi, l'autre jour, deux ans, deux ans et demi, un enfant, un bel enfant est allé recevoir le vaccin, et de retour, une semaine plus tard a été frappé d’une énorme fièvre, est devenu très, très malade, est maintenant autiste. ... Je suis en faveur des vaccins [mais] il  faut les donner sur une certaine période de temps, la même quantité, mais par petites doses. Je pense que vous allez avoir - je pense que vous allez voir un grand impact sur l'autisme. »

Il y a des rumeurs (et elles vont croissantes) selon lesquelles le président-élu Trump a pris sa décision de briguer la présidence parce que son plus jeune enfant, Barron, a été diagnostiqué autiste immédiatement après avoir reçu un vaccin pédiatrique à la fin de 2013, et que sa femme, Melania , a promis d’intenter des poursuites en justice contre quiconque dévoilerait ce diagnostic – elle qui, néanmoins, ne s’installera pas à la Maison blanche afin de garder son enfant hors de la « bulle médiatique » qui entoure tous les présidents américains et leurs familles.

Source : whatdoesitmean.com

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