lundi, 31 octobre 2016 08:09

Non, Mme Goldwater n'est pas misandre!

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2 commentaires

Le Bonnet Des Patriotes

Retour sur les propos de Mme Goldwater à TLMEP

«J'aimerais bien essayer ce petit morceau là (un homme)».
«Les garçons, on leur enlève les couches à 30 ans»
«Les hommes sont des agresseurs».
Telles furent les trois phrases les plus polémiques qui firent tiquer (prière de ne pas ajouter de R ici) les hommes de la sphère des médias sociaux ces derniers jours.

Nous allons tâcher d'analyser ce symptomatique épisode de notre société occidentale. Mais d'ores et déjà, il ne faut pas chercher chez notre harpie le concept de «misandrie» là où il n'existe que de la réflexion égocentrée.

Mme Goldwater a bien été agressée ...à une forte nuance près

Oui, dans son monde à elle, Mme Goldwater a bien été agressée par des dizaines d'hommes. Ils l'ont certainement bafouée, giflée, lui ont tiré les cheveux...ils se sont servi d'elle entre deux portes du palais de justice (je renvoie à son livre). Donc oui, techniquement, elle fut agressée constamment par des hommes.
Mais, à une nuance de taille près ! Car elle le sollicitait, elle le voulait. C'est ainsi qu'elle désirait ces hommes : dominants sexuellement avec elle.

Maintenant que le temps a fait son œuvre (si le terme convient), elle se penche (pas trop SVP) sur son passé chargé de sexe débridé et à l'heure du bilan, voici les postures intellectuelles et psychologiques qui s'offrent à elle :

- avoir honte de son passé de femme «auberge espagnole» offerte à tous vents, ce qui supposerait un gros travail d'introspection, de remise en question et de critique de soi

- pointer du doigt l'Homme, perpétuel agresseur de femmes sans défenses qui ne disent pas OUI (n'est-ce pas Melle Paquet?)

- affirmer sans sourciller que cet amoncellement d'hommes était maîtrisé, voulu et décidé par elle-même (mode femme carriériste dominante).

Voici la réalité

- Mme Goldwater a, comme la majorité des personnes sur cette planète, choisi de ne pas faire son introspection.
- Mme Goldwater nous pond, dans sa communication, un mix entre les deux dernières solutions.
- Mme Goldwater ne remarque même pas l'incohérence et l'incompatibilité des deux solutions choisies puisqu'en effet, si elle maîtrisait et manipulait sexuellement les hommes à sa guise, ils ne pourraient pas être des agresseurs.

Pour preuve, nous vous renvoyons aux trois déclarations du début de ce texte où se mêlent la posture de la femme dominante («j'aimerais bien essayer ce petit morceau-là») et la posture de la femme victime («les hommes sont tous des agresseurs»). Incohérent et incompatible disions-nous.

La réaction des mââââles de la sphère internetesque

C'est assez effrayant de voir à quel point les hommes ne connaissent pas les femmes (l'inverse restant toujours aussi vraie). Nous ne pourrons leur en vouloir mais force est de constater qu'ils utilisent leur énergie dans le vide, ils «hors-sujettisent». Pire, en forçant le débat sur le terrain du concept, ils alimentent en sens giratoire éternel la théorie de l'(in)égalité hommes-femmes. Jamais celle de la complémentarité!
Les propos de Mme Goldwater ne sont pas une attaque conceptuelle contre les hommes mais bel et bien une tentative de réécriture publique de sa conscience. C'est une bataille en elle-même que mène notre acariâtre avocate. Une lutte contre sa honte.

Si, donc, certains de nos compatriotes font fausse route en désirant amener AFG à domicile sur le terrain du concept qui n'est pas le sien, d'autres hommes, eux, vont jouer à l'extérieur et sombrent dans la réflexion typiquement féminine : «moi je suis différent des autres hommes» ou «tous les hommes ne sont pas comme ça». Comme le montre l'image ci dessous :





La réaction aux propos émis ressemble à une réaction émotionnelle de mâles touchés dans leur masculinité. Et comme toute réaction, c'est rarement maîtrisé et c'est dommage. Une preuve ? Pourquoi tous nos mâles ne s'insurgent-ils pas quand des flopées de femmes gauchistes nous agressent à longueur de journée (et quels que soient les médias) avec leurs concepts immigrationniste de «vivre ensemble», de «tolérance»? Parce qu'ils savent que ce sont des éléments extérieurs qui ont insidieusement pollué l'âme de la Femme.
Et bien, il en va de même pour Mme Goldwater !



Qui est à blâmer finalement dans cette histoire ?


1) Évidemment en premier lieu Mme Goldwater. La place de cette dame est sur la chaise incurvée d'un psychologue. Pourtant, sans humilité ni décence, elle nous inflige ses confessions. D'ailleurs son «les hommes sont tous des agresseurs» ne serait-il pas finalement une incantation? Un néo-fantasme? Ou une nostalgie voilée?

2) Surtout et avant tout la société du spectacle qui nous crache à la face les vies sales, dissolues et indécentes d'une pseudo élite (lire Debord et Ewen évidemment).
Le livre de Mme Goldwater ne devrait même pas exister dans une société normale. Tout comme le livre de la dernière star du porno, de la femme qui a euthanasié son fils ou du quadragénaire qui a recueilli un migrant chez lui.
Combien d'essais intéressants écrits par des Canadiens-français mériteraient d'être promus et débattus à TLMEP?
C'est donc à ça que sert notre judéenne et TLMEP : noyer les vraies idées dans un océan de niaiseries. On ne censure pas. On évite de parler. On noie. C'est plus subtil.

Commentaires   

 
0 #2 Francis 02-11-2016 15:01
C'est une bonne chose de faire une introspection et d'examiner sa conscience surtout quand on est une personne arrogante qui a besoin de souffre-douleur pour oublier sa propre souffrance.
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0 #1 Phill 01-11-2016 09:37
Quel arrogante!
Les hommes ont défriché et labouré les terres, creusé les mines et les barrages, construit les routes et les maisons et ont défendu la patrie pour qu'aujourd'hui, les princesses féministes puissent se promener le derrière à l'air dans la facilité le confort et la sécurité.

Oui, féminisme, produit du capitalisme ne subsiste que dans la facilité, le confort et la sécurité que les hommes ont bâtis....Il ne suffira qu'une simple crise sociale pour que cette idéologie narcissique qui a toutes caractéristique s du racisme et de la ségrégation disparaisse en moins de 24h.
Elles se réfugieront alors dans le confort de la maison en poussant les hommes aux sales tâches.

SORTONS LE FÉMINISME DE L'ÉTAT!
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