mercredi, 21 septembre 2016 10:21

Les femmes et le monde du travail

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Mike Deschamps

De nos jours, beaucoup de femmes ont un emploi dans le monde occidental et celles qui n’en ont pas, sont à la recherche par choix ou par obligation. Il fut un temps où les femmes, piliers et gardiennes de la civilisation, avaient la difficile tâche d’élever des enfants, de transmettre des valeurs, d’être dévouées à leur homme afin d’assurer la survie de la famille. La complémentarité était au centre du fonctionnement des sociétés patriarcales. Les civilisations ont fonctionné comme cela pendant des siècles. Puis, suite à la prise de pouvoir d’une certaine bourgeoisie aujourd’hui devenue cosmopolite, sont arrivées les notions d’égalitarisme, de liberté, de fraternité. La complémentarité a disparu pour laisser place à l’égalité, idéologie bien plus intéressante pour le Capital.


De la soumission au patriarcat à la soumission au Capital

Les premiers mouvements féministes émergent dans le monde anglo-saxon à la fin du 19eme siècle pour ensuite se propager à travers le monde occidental. Celles qui prennent « la défense » de la condition de la femme sont des bourgeoises, des rentières, jamais des ouvrières. Peu à peu la femme devient une catégorie sociale à part faisant oublier les difficultés du prolétariat et la soumission de la plupart des hommes au marché du travail toujours plus aliénant.  Ces idiotes utiles vont fournir au Capital une main d’œuvre jusque-là inaccessible.


Arbeit macht frei (le travail rend libre)

L’ingénierie sociale s’acharne donc à mettre au point le concept de la liberté par le travail, puis plus tard l’émancipation par le travail. Il a donc fallu éloigner la femme de sa mission : assurer la survie de la famille et donc de la civilisation. En ouvrant le marché du travail aux femmes, le Capital s’est assuré qu’il y aurait deux fois plus de personnes pour payer des impôts et des taxes. Cela a également permis de mettre en compétition les hommes et les femmes, ces dernières étant moins biens payées que les hommes. Les féministes qui n’ont pas compris les règles du jeu ou qui font semblant de ne pas avoir compris, réclament toujours plus d’égalité « travail identique, salaire identique ». Seulement voilà, cela n’arrivera jamais puisque les femmes ont été justement mises sur le marché du travail car elles coutent moins chères au Capital, même si aujourd’hui elles sont en compétition avec une main d’œuvre encore moins chère : l’immigration massive.

Qu’en est-il aujourd’hui ?

Les femmes et en particulier les nouvelles générations de femmes, sont heureuses de travailler. L’acharnement féministe qui consistait à dire qu’une femme au foyer qui élevait ses enfants était rétrograde a fini par être accepté dans le milieu féminin. Certes, le niveau de vie aujourd’hui ne permet plus dans la plupart des cas de vivre avec un seul salaire mais la réussite sociale chez les femmes est devenue en Occident le facteur primordial, même chez la femme immigrée, contaminée par la vision féminine occidentale. Ce qui fait de la femme et de l’immigration massive les meilleures alliées du Capital. C’est à ce titre que la femme se donne corps et âmes en entreprise car elle cherche en permanence à prouver qu’elle reste la meilleure. Êtes-vous un homme qui a déjà travaillé dans une entreprise qui compte environ 200 employés dont 90% de femmes ? Si c’est le cas, précisez-le dans votre curriculum vitae, c’est un atout. Il faut être armé de patience pour pouvoir travailler dans un milieu féminin. Aucune des qualités de la gent féminine n’est mise en avant sauf quand il s’agit de marketing, on a toujours besoin d’une femme nue ou à moitié nue pour vendre. En grand nombre dans une entreprise les femmes sont envieuses, jalouses, arrogantes et fonctionnent très souvent sur les émotions. Pour prouver qu’elles peuvent faire aussi bien voire mieux que les hommes, elles adoptent tous les comportements masculins de manière complètement artificielle. Dans les milieux ouvriers, les femmes sont confrontées directement à l’exploitation autant que les hommes. Elles n’ont donc pas le même comportement que leurs consœurs. Les femmes «bourgeoises» sont les premières à exploiter les autres femmes quand elles en ont besoin ! Qui gardera le bébé de Madame pour un salaire dérisoire pendant que Madame va au cinéma avec son conjoint ?

Au fond, la femme a du mal à supporter la violence du Capital. Son comportement au sein de l’entreprise le démontre. Elle se réfugie donc dans les antidépresseurs, permettant ainsi à l'industrie pharmaceutique de prospérer. Dans nos sociétés modernes où l’égalité fait loi, les femmes sont dénaturées et n’ont jamais été autant exploitées. Le constat est là : la femme en tant que pilier de la famille n’existe plus en Occident. La femme est devenue l’égale de l’homme, un être plongé dans la consommation à outrance, dans la jouissance immédiate, manipulé, entretenu dans la peur d’un lendemain sans emploi et soumis aux mêmes règles du Grand Capital.

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