dimanche, 15 novembre 2015 14:39

Je suis hors de moi, et en colère contre la responsabilité de nos gouvernants face au carnage de Paris

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Je suis hors de moi, parce que je connais des patriotes qui ne comptent pas leurs heures pour dénoncer les dérives de la secte islamiste portées par l’état islamique et par ses relais en France, et qui malgré leur engagement subissent les affres de la politique valsienne de la censure.

Je suis hors de moi, parce que les attentats de Paris étaient prévisibles, et le gouvernement de Valls n’a strictement rien fait pour circonscrire la menace.

Je suis hors de moi, parce que les vrais résistants sont persécutés et jetés dans les douves du politiquement correct, voire brulés en place publique sur le bûcher de la 17ème chambres correctionnelle du TGI de Paris, qui est devenue le tribunal des ordalies d’opinion.

Je suis hors de moi, parce qu’il est avéré que la cinquième colonne marche au pas de l’oie pour égorger notre civilisation.

Je suis hors de moi, car il parait évident qu’Hollande et Valls sont les Laval de cette nouvelle défaite française, et qu’ils offrent les français en agneaux sacrificiels aux thuriféraires de l’égorgement et de l’exécution des impies.

Je suis hors de moi, en raison des prêches haineux ou absurdes que tiennent des centaines d’Imams en France, qui détruisent notre civilisation par leur incurie, et leur influence sur notre jeunesse en perdition.

Je suis hors de moi, car les français ont peur alors qu’ils feraient bien de résister.

Je suis hors de moi, mon pays est devenu hier soir le Liban, et les milices chrétiennes ne vont pas tarder à s’organiser pour sauver ce qui peut l’être encore.

Je suis hors de moi, mais en vient à espérer l’apparition de phalanges chrétiennes comme celles de la famille Gemayel au Liban, dont notre mémoire chancelante et restrictive nous fait oublier que ce petit pays fût naguère, la Suisse du Moyen-Orient.

Je suis hors de moi, car les technocrates européens ont laissé entrer dans mon pays des terroristes encapsulés dans le flot des réfugiés, en saluant leur arrivée dans une propagande inédite depuis Goebbels.

Je suis hors de moi, parce que de « hauts commissaires » européens ont reconnus dès juillet dernier qu’il y avait probablement quelques milliers de Jihadistes d’origine européenne au sein des « Migrants ».

Je suis hors de moi, en écoutant le discours « martial » d’Hollande qui ressemble plus à des chuchotements pédophiles à la petite oreille d’une gamine de huit ans qu’au ton résolu et guerrier qui sied à ce genre de situation nationale dramatique.

Je suis hors de moi, car j’anticipe le discours d’un valls à la voix plus ferme, mais à la main tremblotante, qui nous servira un discours de la 3ème République, fait d’emphase et de formules absconses pour les français du XXIème siècle.

Je suis hors de moi, Bachar El Assad restera l’homme à abattre, et Poutine le pestiféré à isoler quand bien même son engagement contre nos ennemis coûta la vie à 224 de ses compatriotes lors de l’explosion du vol de l’Airbus A321.

Je suis hors de moi, quand j’entends l’administration américaine réciter la devise républicaine française, alors que leur responsabilité dans le merdier du Moyen Orient exigerait que leur pays accueille tous les réfugiés accompagnés de leurs amis terroristes.

Je suis hors de moi lorsque je prédis de manière fort logique le prochain attentat de masse dans 3 semaines, lors des fêtes chrétiennes de noël.

Je suis hors de moi, lorsque l’Etat faible est incapable d’éradiquer la menace en amont, et se livre à des manipulations abjectes, comme celle de la photo du petit Aylan qui tient plus du casting que du reportage journalistique.

Vous m’excuserez de ces anaphores qui rappellent à beaucoup d’entre-nous de bien mauvais souvenir, et l’arrivée au pouvoir suprême d’un traitre, même si cette trahison fût prévisible et conduisit finalement à une politique d’une lisibilité exceptionnelle qui ne pouvait conduire qu’à l’horreur d’hier soir.

Qu’Emile Zola me pardonne ce qui suit ;

J’accuse le gouvernement français d’avoir incité par négligence et incompétence des terroristes à massacrer des innocents buvant un verre sur des terrasses parisiennes ou assistant à un concert.

J’accuse nommément, Madame Najat Vallaud Bel Kacem de pratiquer une politique de grand remplacement, visant à mélanger les futurs bourreaux et leurs futures victimes dans ce qu’il conviendra d’appeler les abattoirs de la République.

J’accuse Laurent Fabius d’œuvrer pour l’importation de la barbarie sur notre territoire, en s’appuyant sur une idéologie socialiste mondialiste qui réfute à priori le droit à l’Etat Syrien d’exister et la mise au ban des nations de la Russie, pourtant le seul pays honnête décidé à poursuivre les terroristes jusque dans les chiottes.

J’accuse Cazeneuve, notre brillantissime ministre de l’intérieur, d’être un pantin d’opérette incapable de protéger les français.

J’accuse le Drihan, le non moins brillantissime ministre de la Défense de ruiner le moral de notre armée et de lui assigner des missions contradictoires qu’elle ne sera en mesure de conduire efficacement.

J’accuse Mme Taubira de mettre tout en œuvre pour faire le nid des terroristes en France, en déniant le droit des victimes et en excusant les apprentis terroristes.

J’accuse Hollande d’être complice, à l’insu de son plein gré, des terroristes en se fourvoyant dans les méandres des banquiers salafistes Qataris et Saoudiens qui financent les actions violentes sur notre sol.

J’accuse Hollande de préparer la marche en hommage aux victimes du 13 novembre, en espérant que cela ne lui rapporte aucun suffrage du peuple qu’il a trahi.

Ne comptons pas sur nos gouvernants pour nous libérer de l’étreinte islamiste, nous sommes seuls à pouvoir refuser d’être les victimes du prochain holocauste autrement appelé Aid el Kébir. Voulons-nous être égorgés passivement, ou souhaitons-nous combattre comme le firent nos aïeuls pour bâtir cette si belle Nation, malheureusement aujourd’hui en voie de libanisation ?

N’avez-vous pas entendu les réactions éplorées des politiques annonçant que ces attentats étaient inéluctables, et qu’il fallait s’habituer à vivre avec cette menace au quotidien.

Je le dis le plus clairement qui soit, fût-il pour cela que je devienne pour ma fronde, prisonnier politique, je ne me tairai pas et continuerai à condamner les meurtriers au pouvoir.

130 morts, 99 blessés entre la vie et la mort, un Etat défié par les ennemies de l’intérieur, le socialisme est finalement habitué aux crimes de grande ampleur, et ce ne sont pas les trois jours de deuil national qui me feront défiler avec les instigateurs indirects de ce crime abject contre mes compatriotes. Que ces ordures ne me fassent pas le procès de l’indécence en m’accusant de ne pas observer une longue période de deuil en entrant trop tôt dans une satyre politique, qu’ils sachent que nous les chrétiens, nous ne nous perdons pas dans un hypothétique deuil lorsque les assassins se parent en victimes.

La faillite d’une Nation peut entrainer son peuple dans les circonvolutions cérébrales hasardeuses du concept de la guerre civile, puisqu’à un moment donné, le pouvoir des armes prime sur celui des mots, dès lors que la faiblesse des puissants refuse d’entendre la longue complainte étouffée du peuple en colère.

Source : lagauchematuer.fr

Commentaires   

 
0 #2 Alex 15-11-2015 19:13
Moi je reprendrais le texte de Luc Le Vaillant sur votre site. Voici le lien :
http://www.liberation.fr/debats/2015/11/15/on-s-embrassera-en-abominables-pervertis_1413569
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0 #1 Mike Deschamps 15-11-2015 16:18
Coup de gueule !
C'est le sentiment que j'ai, surtout après avoir entendu ce matin le discours de Coderre à Montreal.
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