Le film relate la vie d’un jeune député qui intègre le rang des francs-maçons pour relancer sa carrière. Il apprend ainsi comment la finance internationale en Angleterre et aux États-Unis a utilisé la Franc-maçonnerie pour impliquer la France dans une guerre contre l’Allemagne. Le réalisateur Jean Mamy fut exécuté comme collaborateur en 1949. Le film est aujourd’hui disponible sur YouTube.
La libération
Bien sûr, après que la France ait été « libérée » par les pouvoirs Maçonniques en 1944, les cartes changèrent de mains.
Faÿ fut arrêté et envoyé en camp de concentration. Lorsqu’il parut enfin pour son procès en 1946, il n’adopta pas la posture du repenti et se fendit même d’une attitude provocante.
« Ma plus grande imprudence fut de rester en France de 1940 à 1944, de rêver à sa régénération, d’y consacrer toutes mes forces, de risquer ma vie pour cela et d’y croire », déclara-t-il.
D’après Barbara Will, l’auteur de Unlikely Collaboration/Une collaboration improbable, « sans doute l’aspect le plus frappant de son procès, fut la réticence des procureurs à argumenter avec Faÿ au sujet des opinions politiques qu’il exprimait encore librement. »
Par exemple, il déclara à la cour que « pendant des années j’ai considéré la Franc-maçonnerie comme une institution dangereuse, et sur ce point depuis vingt ans je n’ai pas varié ni d’opinion ni de langage à son égard. La présence des allemands n’a eu strictement aucune influence sur mes idées. » (p. 181)
Pour mesurer à quel point la Franc-maçonnerie est vicieusement ancrée dans l’esprit des gauchistes, il faut voir comment Barbara Will, une enseignante d’anglais du Dartmouth College, persiste à décrire la vision de Faÿ comme de la « paranoïa » et de « l’agressivité ».
Faÿ a eu accès aux archives secrètes du Grand Orient. S’il a déclaré que leur but est la mise en place d’une tyrannie mondiale Luciférienne, il était tout sauf mal informé.
Après la guerre, le pouvoir franc-maçon français enquêta sur plus de 300 000 cas de collaboration. 6 783 peines de mort furent rendues en France et 1600 furent exécutées. Par contraste, seul 200 à 300 Nazis furent pendu en Allemagne.
Faÿ n’attendait strictement rien de son procès. Le juge, fit-il remarquer, était un « Israélite et un franc-maçon. » Étonnamment, il ne fut pas exécuté. Le 6 décembre 1946 à l’âge de 54 ans, il fut condamné aux travaux forcés à perpétuité.
En 1951, lors d’une convalescence à l’hôpital de la prison, il s’échappa en Suisse grâce à l’aide de compagnons anti-maçons. Deux ans plus tard, il fut gracié par Charles de Gaulle. Néanmoins, il resta en Suisse où il continua à enseigner et à écrire des livres jusqu’à sa mort en 1978.
Conclusion
Bernard Faÿ appartenait à la France de l’Ancien Régime, la vraie France de la Monarchie, de l’Église et de l’armée. Cette France fut déracinée et détruite par la finance internationale et leurs sbires francs-maçons qui provoquèrent la Révolution Française.
L’histoire moderne est le récit de la manière dont le pouvoir et la fortune de l’église et l’aristocratie ont été transférés à la finance internationale, par l’utilisation du libéralisme et des idéaux démocratiques comme prétexte.
L’Allemagne Nazie se devait de montrer qu’elle était opposée à la Franc-maçonnerie car ses ennemis étaient contrôlés par la maçonnerie. Bernard Faÿ a saisi ce bref moment pour essayer de sauver son pays bien aimé. Bien sûr, cette opportunité s’est rapidement évanouie car les Nazis étaient aussi financés et contrôlés par des réseaux occultes.
Source : bibliothequedecombat.wordpress.com