lundi, 26 novembre 2018 15:10

Je suis antisémite (3eme partie)

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Réjean DeGaule

Quand les juifs gardent leur religion pour eux et entre-eux, il n'y pas de problème. Si leur vie religieuse ne consistait pas à prendre le dessus sur les autres religions [i], elle nous coulerait dessus comme de l'eau sur le dos d'un canard. Afin de faire travailler le goy pour des intérêts juifs, tous les moyens sont bons. Autant flatter le goy, obéir mommentanément au goy, lui donner raison sur tout même s'il a tort, passer pour plus catholique que les catholiques, le publier comme s'il était un génie ; lorsqu'il est trop sûr de lui, semer le doute avec une paire de deux dans la manche ; que de se faire détester par le goy au point de lui faire opérer un holocauste. Bref, je suis antisémite, mais j'exècre l'antisémitisme quasi noachite, c'est-à-dire, celui concocté par les juifs.

Abstraire l'esprit juif de la pensée, de notre pensée de goy, voilà un antisémitisme qui vaut la peine. Avant d'être antisémite, il faudra d'abord séparer l'esprit juif de l'esprit québécois. Sinon on sera antinous- mêmes. Ce qui n'est pas très brillant.

Précisons, à la manière d'Hervé Ryssen, qu'un goy qui s'exprime via une tournure d'esprit juive est aussi méprisable que s'il était juif. Naitre juif ou goy ne détermine en rien la tournure d'esprit que l'on utilisera le reste de nos jours. Tâche ardue en perspective que de déjudaïser nos esprits, puisqu'en notre ère de libre circulation des idées il est difficile de concevoir qu'une telle opération puisse se concevoir. Tâche ardue aussi parce que la force du juif se puise à même notre faiblesse, autrement dit notre égo, notre laxisme, notre culte du veau d'or, etc. etc. Et refuser d'en parler n'est pas une solution. Seul le discours émotif, sans fondement, est à proscrire.

Malgré tout, il y a de l'espoir. L'exactitude prônée par Robert Faurisson ou même Pierre Hillard, même s'ils ne détiennent pas toujours la vérité, est un début d'exemple à suivre en terme "d'antisémitisme" (ou de judéocritique) sage et saint d'esprit. Le fait que ces derniers accompagnés de Soral et Ryssen n'aient jamais tué un seul juif de leur vie les rend encore plus méprisable... d'un point de vu juif.

Fin.

[i] https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-interdit-de-la-connaissance-du-bien-et-du-mal-comme-fondement-biblique-de-la-morale-juive-52633.html

 

Lire la 1ère partie ici

Lire la 2eme partie ici

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