samedi, 10 novembre 2018 10:28

Je suis antisémite (2eme partie)

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Réjean DeGaule

Les humanistes : des antisémites quoiqu'ils en disent...

Individuellement, les juifs apparaissent parfois sympathiques. Quand l'humaniste s'y intéresse, c'est généralement leur dieu qui cause problème. C'est ce qui réunit tous les juifs, incluant même les juifs « athées » (personnes qui se proclament juives mais qui ne pratiquent pas le judaïsme), qui imposent l'antisémitisme aux humanistes cohérents. Par humanistes, je désigne ceux qui accordent davantage d'importance à l'humain ou la condition humaine qu'à Dieu.

Pour avoir vu de mes propres yeux l'omniprésence de la question juive dans des cours d'histoire de France, autant à Montréal qu'en France, et qui traitaient de la Seconde Guerre mondiale, je n'ai pas de difficulté à dire que l'holocauste et la repentance envers l'holocauste forment l'un des dogmes de la république française. Selon ce dogme, celui qui est symboliquement mis en croix ou en chambre à gaz, est un juif et ce n'est pas Jésus. D'ailleurs, Jésus répondait à la question à savoir s'il était le roi des juifs : « Mon royaume n'est pas de ce monde. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs »

Une question qui ne se pose jamais dans les cours de cathéchisme de la shoah : qu'est-ce que l'holocauste sinon qu'une poignée d'élites juives ou d'esprits judaïsant qui sacrifient un peuple au nom de yahvé, dieu unique des juifs [i], en se servant de la colère nazie pour arriver à leur fin ? Le terme holocauste dans l'Ancien Testament (livre sacré des juifs) désignait une offrande livrée à leur dieu. Les élites juives auraient-elles offert leur peuple en holocauste à yahvé ? Pour simplement se poser la question, encore faut-il pouvoir se représenter l'eschatologie comme une matière à prendre au sérieux L'humaniste, lui, n'y croit pas. Autrement, il se demanderait à quoi bon détester un peuple qui veut délibérément être livré en holocauste à son dieu (de manière fictive ou réelle). L'humaniste dirait : « je respecte son choix, sa liberté ».

Toutefois, l'humaniste veut sauver la condition de tous les humains, donc, de tous les juifs. Mais les juifs veulent-ils être sauvés ? Veulent-ils vivre en épicuriens, améliorer leurs conditions de vie, ou mourir pour leur idôle yahvé ? L'humaniste a-t-il penser à respecter son droit de mourir pour son dieu, aussi affreux soit-il ? A-t-il penser qu'éduquer des juifs, c'est comme élever des agneaux prêts à être livrés à l'abattoir, autrement dit, à yahvé ? Très peu de petits juifs lutteront pour éviter d'être éduqués ou rééduqués par leurs élites... À partir de là, mission impossible que de convaincre un juif de la sacralité de la vie humaine. Leur passage sur terre n'a pas beaucoup d'importance autrement que pour perpétrer l'oeuvre de l'idôle des juifs, yahvé.

Mais l'humaniste n'arrive pas à concevoir qu'on puisse vivre ainsi. Pour l'humaniste ce sont des conneries. Alors il continuera de se convaincre qu'il faut sacraliser l'humain, même si ce dernier ne veut rien en savoir. Devant cette humanisme doctrinaire, naïf et quasi religieux, véritable fléau au sein des élites québécoises, le juif n'a quasiment rien à faire pour en profiter. Profiter de la repentence du goy advient sans que le juif n'est rien demandé, sans qu'il ne soit même présent sur la place publique. Le fait que le goy se croit responsable de la bonne ou mauvaise condition de tous les humains - quand il ne se déculpabilise pas en jetant la faute sur son curé - est l'arme la plus puissante des minorités dont le chemin tactique a été tracé dans l'histoire par des juifs. Par cette repentence, on déroule le tapis rouge devant le juif partout dans l'univers mondialiste afin d'accomplir sa domination sur le monde. Et pourtant, l'humaniste continuera d'écrire des chroniques visant à protéger les juifs contre eux-mêmes, comme le font Richard Martineau [ii] et Mathieu Bock-Côté [iii]. À noter que l'humanisme de Martineau et Bock-Côté en est réduit à la protection des bourgeois et des castes supérieurs dont font parti les Finkelkraut, Goldnadel et autres juifs récemment convertis à la droite républicaine française (alors que l'humaniste de gauche, encore plus prétencieux, tente de sauver tout le monde contre ses propres imperfections ou contre toute forme de mauvaise qualité de vie ou maltraitance que les hommes s'affligent). Il ne s'agit pas ici d'une critique, mais plutôt d'un constat afin de montrer que l'humanisme de Richard et Mathieu n'est pas intégral. S'il y avait une critique à faire à leur endroit, ce serait qu'ils rampent littéralement devant les juifs pourtant messianistes. Si Bock-Côté voulait véritablement participer à la préservation de la nation canadienne française, il ne ramperait pas devant les juifs. Lècher le cul des juifs au point de ne jamais être trahi est impossible pour le goy. À moins que l'objectif soit purement carriériste.

Suite...

Lire la 1ere partie ici...

[i] Absence de lettre majuscule au mot « dieu » en raison d'une non reconnaissance de yahvé comme un dieu.

[ii] https://www.journaldemontreal.com/2018/10/30/la-faute-de-trump

[iii] https://www.journaldemontreal.com/2018/10/30/une-haine-diabolique

Commentaires   

 
0 #1 Louis-Philippe 19-11-2018 21:27
Je fais des recherches présentement sur les liens entre judaïsme et communisme et c'est incroyable de voir le nombre de juifs communistes tout au long du XXème siècle. En Hongrie après la Deuxième guerre mondiale, les principaux dirigeants, Matyas Rakosi, Erno Gero, Mihaly Farkas et Jozsef Revai étaient Juifs et très sanguinaires par ailleurs.
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