mardi, 01 decembre 2020 10:51

Vers une faillite généralisée ?

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Note du Bonnet : Quelle sera l’issue de cette dette colossale ? Alors qu’on nous annonce une troisième vague de COVID19, l’état ne cesse d’emprunter des milliards de dollars dans le contexte d'une économie mondiale déjà bien fragile et ce avant la "pandémie" (Ecoutez notre web-radio à ce sujet). Le « Grand Reset » se présentera-t-il en sauveur en appelant à annuler toutes les dettes ?  « Bienvenue en 2030 Je ne possède rien, je n'ai pas d'intimité et la vie n'a jamais été aussi belle » disent-ils. Qui vivra verra.

Le fédéral lance une panoplie de nouvelles mesures d’aide qui feront bondir le déficit à un record de 381,6 milliards $ cette année, soit près de dix fois celui affiché l’an dernier. Et c’est sans compter jusqu’à 100 milliards $ de plus pour stimuler l'économie après la pandémie.

«Nous allons continuer d’appuyer les Canadiens pendant cet hiver difficile (...) Et nous avons aussi, pour le printemps, un plan pour la relance économique post-covid-19», a dit la vice-première ministre Chrystia Freeland, en présentant son énoncé économique de l’automne. 

Son gouvernement a annoncé 25,1 G$ en nouvelles mesures de soutien pour lutter contre la pandémie. Cette somme comprend notamment des fonds pour améliorer la ventilation dans les immeubles publics et pour les familles d’enfants de moins de six ans.

Le gouvernement a d’ores et déjà dépensé 322 G$ en mesures d’aide directes pour lutter contre la pandémie, dont 81,6 G$ uniquement pour la Prestation canadienne d’urgence (PCU). Pas moins de 8,9 millions de personnes en ont bénéficié.

À ce rythme, et si la résurgence de la COVID-19 forçait l’imposition de restrictions plus strictes, le déficit pourrait même gonfler davantage pour atteindre un sommet de 398,7 G$, selon le scénario le plus pessimiste présenté par le ministère des Finances. 

Son gouvernement a annoncé 25,1 G$ en nouvelles mesures de soutien pour lutter contre la pandémie. Cette somme comprend notamment des fonds pour améliorer la ventilation dans les immeubles publics et pour les familles d’enfants de moins de six ans.

Le gouvernement a d’ores et déjà dépensé 322 G$ en mesures d’aide directes pour lutter contre la pandémie, dont 81,6 G$ uniquement pour la Prestation canadienne d’urgence (PCU). Pas moins de 8,9 millions de personnes en ont bénéficié.

À ce rythme, et si la résurgence de la COVID-19 forçait l’imposition de restrictions plus strictes, le déficit pourrait même gonfler davantage pour atteindre un sommet de 398,7 G$, selon le scénario le plus pessimiste présenté par le ministère des Finances.

Se voulant rassurante, la ministre Freeland a souligné que le Canada peut se permettre de tels investissements, compte tenu des taux d’intérêts très bas. «Les dépenses du Canada sont prudentes et réfléchies», insiste-t-elle. (ndlr : sait-elle quelque chose que nous ne savons en rapport avec le "Grand Reset" ?)

Mais rien n’est moins sûr selon Robert Asselin, ancien proche collaborateur de Justin Trudeau, maintenant premier vice-président politiques publiques du Conseil canadien des affaires. «Je sens qu’il n’y a pas de contrôle des dépenses et pas de plan pour l’avenir. Il y a un manque de rigueur. C’est décevant», dit celui qui s’attendait un plan beaucoup plus détaillé.

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