Note du Bonnet : Consciemment ou inconsciemment ces gens issus du monde musulman s'organisent en lobby militant défendant soit les dogmes de la franc-maçonnerie adogmatique soit leur vision de l'islam. Ces militants de la laïcité de culture musulmane n'ont que faire de l'héritage anticléricale de la laïcité à la française. Ils se regardent le nombril en observant uniquement les souffrances dont ils ont été les témoins. Les racines du Québec catholique ne les intéressent pas, pas plus qu'elles n'intéressent ceux qui essaient d'imposer leur vision de l'islam. Ce qui compte pour eux c'est d'amalgamer l'islam en tant que religion de soumission avec le catholicisme. Des gens venus du Maghreb pour vendre la laïcité ou des gens venus du Maghreb pour imposer leur vision de l'islam au Québec, voilà les deux faces de la même pièce. L'un créé le vide spirituel que l'autre remplacera par son dogme. Qu'ils soient donc pour la laïcité à la française ou pour le dogme islamique, ces gens contribuent à la négation de l'histoire des Canadiens-Français...(Lire La sociologie du collabeur)
La femme du prisonnier politique Raif Badawi, réfugiée au Québec depuis que son mari a été condamné à 1000 coups de fouet en Arabie Saoudite, s’est positionnée en faveur de la loi sur la laïcité lundi au procès visant à l’invalider.
« Le voile, ce n’est pas la religion. Les enseignants sont les leaders pour les enfants. On ne va pas impliquer la religion », a déclaré Ensaf Haidar au tribunal.
Selon la femme devenue un symbole de la liberté d’expression, le hijab est un accessoire politique plutôt que religieux. Pour appuyer ses dires, elle a cité en exemple l’Iran, où le port du voile est devenu obligatoire pour les femmes en public.
Avec son témoignage, elle espère convaincre le juge que la loi sur la laïcité est « la seule solution pour vivre sans religion ».
La loi interdit le port de signes religieux aux employés de l’État en position d’autorité lorsqu’ils sont dans l’exercice de leurs fonctions, dont les juges, les policiers et les enseignants.
La religion, un choix personnel
« J’ai quitté [l’Arabie Saoudite] parce que c’est difficile pour une femme d’y vivre une vie normale. Je suis musulmane, mais la religion, c’est personnel », a-t-elle fait valoir.
Mme Haidar a déménagé au Liban avant de s’installer à Sherbrooke en 2013 avec ses trois enfants.