Note du Bonnet : l'attentat qui a eu lieu près d'une synagogue fermée au moment des faits a déjà été qualifié d'«attaque antisémite effroyable». Sans connaitre les motifs du terroriste, certains politiciens français se plient déjà en quatre pour envoyer des messages de solidarité à la communauté juive via Twitter tandis qu'inconsciemment ils font passer au deuxième plan les victimes autrichiennes non juives. C'est l'impression que peuvent donner certains de ces messages Twitter. Il est clair que le national sionisme n'hésitera pas à récupérer le malheureux évenement afin de pousser le monde vers une guerre de civilisation. A l'heure où le confinement des peuples en Europe est en vigueur, le combat des coqs ne fait que commencer...

Le ministère autrichien de l'Intérieur a donné de nouveaux éléments sur l'attaque terroriste survenue devant une synagogue à Vienne. L'assaillant tué aurait agi au nom de Daesh, alors que la police recherche toujours d'autres complices présumés.

L'assaillant tué par la police, après un attentat qui a fait au moins quatre morts et 15 blessés dans la soirée du 2 novembre 2020 soir dans la capitale autrichienne, était «un sympathisant» du groupe terroriste Daesh, selon le ministre autrichien de l'Intérieur qui s'exprimait le 3 novembre au matin.

«Les indices recueillis montrent clairement que c'est une personne radicalisée qui se sentait proche de Daesh», a déclaré Karl Nehammer lors d'une conférence de presse. Un individu armé d'un fusil d'assaut et d'une ceinture d'explosifs factice Il a précisé que les enquêteurs avaient accédé à son logement en forçant la porte avec des explosifs, sans donner davantage de détails sur le profil de l'attaquant.

«Lourdement armé», il était équipé d'un fusil d'assaut et d'une ceinture d'explosifs qui s'est révélée factice, selon le ministre.

Karl Nehammer, qui avait affirmé auparavant qu'au moins un autre suspect était en fuite, a dit partir du principe qu'ils étaient «plusieurs» sans pouvoir formellement l'assurer. 

Les enquêteurs tentent de déterminer s'il est possible qu'il n'y en ait eu qu'un seul, alors «que les tirs ont eu lieu en différents endroits», toujours selon le ministre.

Le bilan des victimes des fusillades a par ailleurs été revu à la hausse : deux hommes et deux femme sont décédés, selon les derniers éléments fournis par la police et par le ministère autrichien de l'Intérieur.

Source : rt.com