lundi, 01 juin 2020 10:11

Saccage au centre-ville de Montréal dans une manifestation organisée par des fascistes « antifas »

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Note du Bonnet : Rien de plus surprenant qu'une manifestation organisée par des fascistes  « antifas » (habitués à imposer leurs idées par la violence) qui, bien que s'être déroulée pacifiquement au départ, a fini par des saccages. La manifestation qui devait être fait en l'honneur de George Floyd, décédé lors de son arrestation par la police américaine, est devenue un prétexte pour des groupuscules comme « Action Antifasciste Montréal » pour se faire entendre. Le groupuscule qui appelé les manifestants à se rencontrer le devant le siège de la police de Montréal le 30 mai dernier, fait donc des amalgames entre la police américaine chez qui on ne compte plus les bavures de type raciales et la SQ. Les fascistes  « antifas » ne font donc aucune distinction entre une société ultra-armée où la violence règne tous les jours autant chez ses citoyens que dans le corps policier et une société relativement paisible.  Nous invitons ces jeunes excités à se promener en pleine nuit dans les rues de Chicago et de Montréal pour voir la différence. A noter que le groupuscule « Action Antifasciste Montréal » pratique la discrimination positive puisqu'un  événement  devait se tenir avant la manifestation dans « un espace pour la vie noire qui est exclusivement réservé aux Noirs ». Et ça ose traiter les autres de racistes...

Le centre-ville de Montréal a été pris d’assaut dimanche par des milliers de manifestants venus dénoncer la brutalité policière et le racisme dans le calme, avant que des casseurs ne se mettent de la partie.

Près de 10 000 personnes étaient réunies vers 18 h dans le Quartier des spectacles au centre-ville de Montréal afin de manifester contre le racisme et la brutalité policière.

ls ont protesté calmement dans la foulée de la mort de George Floyd lors de son arrestation au Minnesota la semaine dernière.

Les débordements se sont limités à quelques pièces pyrotechniques et fumigènes.  

Cependant, à la tombée de la nuit, deux points de confrontations entre des policiers et une poignée de protestataires ont amené les autorités à donner l’ordre de dispersion après qu’une majorité des marcheurs furent rentrés chez eux.

Onze arrestations

Onze personnes ont été arrêtées dimanche soir par la police de Montréal à la fin de la manifestation. 

Dans son bilan rendu public lundi matin, le Service de police de la Villle de Montréal (SPVM) a précisé que neuf personnes ont été interpellées pour introduction par effraction, une pour méfait et une autre pour agression armée.

Tension à la hausse

Les esprits se sont échauffés avant 20 h, lorsque les protestataires ont fait face aux policiers qui leur bloquaient la route du côté nord et sud de la rue Saint-Urbain.    

Des panneaux de signalisation ont été lancés à l’endroit des policiers.

Des gens ont scandé « assassins ! » devant une ligne de policiers de la Sûreté du Québec, munis de leurs boucliers. Ils sont venus en renforts pour ceux du SPVM.

Un édifice à l’angle des rues Saint-Urbain et Président-Kennedy a d’abord été attaqué vers 20h30, grâce à des matériaux récoltés sur un chantier de construction à proximité. Ceci a forcé les policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) à lancer des gaz lacrymogènes. Ils ont aussi chargé ce petit groupe de vandales qui s’est alors dispersé.

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