lundi, 02 septembre 2019 10:14

Jean-François Roberge, futur ministre de la propagande ?

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Note du Bonnet : Alors que le cours d’éthique et culture religieuse (ECR) devrait être tout simplement supprimé, le ministre Roberge qui ignore totalement les références aux recherches du pédophile Kinsey,  pense maintenant à y inclure les cours d'éducation sexuelle.

Le ministre Jean-François Roberge envisage d’intégrer l’éducation à la sexualité dans le cours d’éthique et culture religieuse (ECR), qui fera l’objet d’une importante réforme au cours des prochains mois.

En entrevue avec Le Devoir, le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur a dit que cette hypothèse fera partie du vaste chantier sur la révision du cours ECR qu’il compte lancer prochainement.

« Il y a déjà des gens qui m’ont dit (ndlr : quels gens ? ) : “Vous allez revoir ce cours-là [ECR] qui traite du savoir-être, des valeurs, du respect de soi, de l’acceptation de l’autre. Est-ce qu’on pourrait intégrer ça [l’éducation à la sexualité] au contenu ?” Je suis très ouvert à ça. L’éducation à la sexualité pourrait en faire partie. Ce n’est pas réglé, je lance un chantier sur la réforme du cours éthique et culture religieuse dans les prochains mois. On va le faire pour vrai », a dit le ministre, rencontré à son bureau de Montréal.

L’éducation à la sexualité est obligatoire pour une deuxième année dans toutes les écoles primaires et secondaires du Québec. L’implantation du programme s’est faite de façon inégale d’une école à l’autre, selon les syndicats d’enseignants.

Il ne s’agit pas d’un cours en bonne et due forme, mais plutôt de « contenus » qui doivent être livrés dans l’enseignement d’autres disciplines. La matière doit être enseignée entre cinq et quinze heures par année, selon le niveau scolaire. Chaque école doit trouver — ou désigner — des volontaires pour enseigner l’éducation à la sexualité. Les profs sont souvent mal à l’aise de parler de sexualité aux élèves.

« L’idée d’avoir des contenus [d’éducation à la sexualité] qui appartiennent à un vrai cursus, avec des professeurs dont le mandat est de donner des notions spécifiques et qui sont formés pour ça, je pense que c’est porteur. Ça va faire partie des choses sur lesquelles on voudra consulter », dit Jean-François Roberge.

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Commentaires   

 
0 #1 Louis-Philippe 02-09-2019 16:28
Et maintenant après l'indifférence en matière religieuse on apprendra le plaisir sexuel aux enfants!
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