mercredi, 15 mai 2019 10:40

Le terrorisme permettra la censure de la critique contre l'immigration

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Note du Bonnet : Alors que le terrorisme islamisque permet déjà l'espionnage de chaque citoyen et des opposants politiques en Occident, le terrorisme contre des musulmans permettra de censurer la critique de l'immigration. Les résultats d'une réunion à laquelle Trudeau doit participer aboutiront à un amalgame. Cela met la lumière sur un autre terrorisme : celui de l'état qui participe pleinement au terrorisme islamique en vendant des armes à des états voyous tout en infligeant un terrorisme intellectuel dans le but d'interdire la parole à tous ceux qui critiquent le système immigrationniste mondialiste.

Le premier ministre Justin Trudeau se rendra en France cette semaine pour participer à l'Appel de Christchurch, une réunion multilatérale visant à enrayer la propagation du terrorisme et de l'extrémisme en ligne.

Dans une déclaration publiée une semaine avant le sommet, M. Trudeau a affirmé que « les médias sociaux et d’autres plateformes en ligne ont permis de créer des nouveaux liens positifs et sans précédent entre les gens », mais que ceux-ci sont de plus en plus « utilisés pour promouvoir, publier et répandre la violence extrémiste et la haine. »

Les gouvernements et les entreprises des secteurs technologiques réunis lors de ce sommet discuteront des moyens à prendre pour lutter contre les contenus violents dans Internet. Lors de la fusillade de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, le tireur a diffusé son attaque en direct sur les réseaux sociaux, et cette vidéo a été partagée des milliers de fois.

M. Trudeau a condamné les « éléments toxiques » de la société qui ont colporté, immédiatement après la fusillade de Christchurch, le fait que la diversité serait une faiblesse pour les nations.

La ministre des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, a également déclaré aux Nations unies que le néonazisme, le suprémacisme blanc et l'islamophobie constituent certaines des « menaces les plus graves » auxquelles le monde est confronté.

De son côté, Washington a officiellement condamné la violence à Christchurch, et le président Donald Trump a exprimé sa sympathie pour les victimes. Il a toutefois minimisé la menace du nationalisme blanc à travers le monde, affirmant qu'il ne la considérait pas comme une menace croissante, malgré des données suggérant une augmentation.

Aucun représentant de la Maison-Blanche n'a été invité à l’Appel de Christchurch.

La Nouvelle-Zélande remercie le Canada

Les commentaires de Justin Trudeau, ainsi que d’autres déclarations de soutien des dirigeants canadiens, ont été d’une aide précieuse après la tragédie de Christchurch, a déclaré le haut-commissaire de la Nouvelle-Zélande au Canada Daniel Mellsop lors d’une interview accordée à l'émission The House sur les ondes de CBC.

Le représentant néo-zélandais a publiquement remercié le Canada d'avoir condamné le contenu extrémiste en ligne à la suite de la fusillade, qui a fait 51 morts en mars dernier. M. Mellsop a loué la volonté du Canada de collaborer aux efforts visant à garantir que de telles attaques ne se reproduisent plus.

« C'est formidable que le premier ministre Trudeau ait confirmé sa venue. Le soutien que nous avons reçu du gouvernement canadien a été exceptionnel », a déclaré M. Mellsop.

Lire la suite sur radio-canada.ca

Commentaires   

 
0 #1 dissident anonyme 16-05-2019 12:28
Le mot "Christchurch" est maintenant devenu un slogan synonyme de "haine". Vous pensez que c'est un hasard? Es-ce la raison pourquoi cette ville lointaine fut choisi pour cette attaque sous fausse bannière?
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