jeudi, 25 avril 2019 10:31

Confession de fraude et d'extorsion

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Note du Bonnet : La ville de Montréal et le service de police se rendent coupables d'une extorsion sans nom. Comment a-t ‘on pu laisser se dérouler une telle opération qui ne prend les citoyens que pour des vaches à lait. Même si les quotas ont disparu, on confesse ici que l'objectif sera de 186 millions de dollars. Et c'est à l'image de cette mascarade que l'on tente de nous faire croire que la politique se fait avec objectivité. Déjà en 2017, nous écrivions sur ce sujet dans l’article « Les Québécois, un troupeau de vaches à lait ! » http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/chroniques/item/15620

L’abolition des « quotas de tickets » se fait ressentir sur les finances de la Ville de Montréal. L’an dernier, l’administration de Valérie Plante a récolté presque 18 millions $ de moins que prévu grâce aux constats d’infraction.

L’obligation pour les patrouilleurs de remettre un certain nombre de contraventions chaque jour n’était un secret pour personne, mais c’est seulement en 2014 que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a reconnu l’existence de cette pratique.

En janvier 2018, fraîchement élue, la mairesse Valérie Plante a annoncé qu’elle mettait fin aux quotas.

Elle a également mis un terme au système de bonis pour les cadres du SPVM dont les employés parvenaient à respecter ces quotas.

Cette décision n’a pas été sans effets sur les finances municipales.

« On a aboli les bonis de performance et également les quotas. Évidemment, ça fait en sorte que les revenus des contraventions sont moindres [que prévu] », a reconnu hier le président du comité exécutif, Benoit Dorais, lors de la présentation du bilan financier de la Ville.

La contravention « régulière » était passée de 53 à 62 $. Les amendes pour s’être garé en double ou dans une zone pour personnes handicapées avaient aussi augmenté.

La Ville espérait que les revenus des contraventions de circulation et de stationnement atteindraient 186 M$ en 2018. Elles n’ont rapporté que 168,1 M$.

Depuis 2014, les revenus des tickets sont constamment en deçà des prévisions. Mais jusqu’ici, la Ville pointait du doigt les moyens de pression du syndicat des policiers. Le conflit portant sur les conditions de travail des employés s’est terminé en août 2017.

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