L'un des documents dévoilés par les hackers du 11-Septembre révèle la présence d'un agent du Mossad au sein d'un cabinet d'avocats chargé du dédommagement matériel.

Jeudi 10 janvier, onze jours après leur annonce, les hackers ayant piraté des documents confidentiels sur le 11-Septembre continuent d'être littéralement bannis, jour après jour, des plate-formes internet sur lesquelles ces mystérieux dissidents publièrent les premiers liens de téléchargement. Dernier en date à les censurer : Steem.

Entretemps, Panamza s'est penché sur la première masse d'informations exploitables (plus de 7500 documents rendus accesssibles dans la seule journée du mercredi 9 janvier).

Surprise, surprise : l'une de ces infos inédites recoupe et corrobore les travaux antérieurs de l'auteur de ces lignes.

Le 8 novembre 2001, un cabinet d'avocat -dénommé Blackwell Sanders Martin Peper, basé à Kansas City (Missouri) et sollicité sur le droit des assurances par des victimes matérielles de la destruction du World Trade Center- a publié un rapport co-écrit par un agent (alors sous couverture, comme spécialiste de la sécurité aérienne) du Mossad.

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