Lorsqu’on avait établi la mixité des établissements scolaires, nous avons des écarts de comportement, la distraction et l’abaissement des standards d’évaluation. C’est exactement ce qui se passe au sein des forces canadiennes. On tire par le bas les critères d’admission, il y a un assouplissement de l’instruction et des performances physiques à l’embauche. Lorsqu’il faut réduire les critères d’admission afin de répondre à des quotas, nous négligeons une des plus vitales institutions de l’État. L’armée a comme raison d’être la défense du pays. Si le Canada combat un État n’ayant procédé à la féminisation de corps d’armée, dans les situations de combat corps à corps, l’ennemi aura un énorme avantage sur les forces canadiennes.
Toute cette féminisation des corps de métier est l’expression d’un affaissement de l’État et de ses institutions. Les institutions sont le reflet d’une société libérale rongée par le démon de l’égalitarisme. Il faut absolument revoir les excès de ce féminisme qui sont délétères pour l’État, nocifs pour le bien commun et dangereux pour la sécurité publique.
Commentaires
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.