En revanche tous les samedis les abonnés et acheteurs en kiosque pourront bénéficier de publicités parsemées d'articles repris des agences de presse internationales et canadiennes, telles que AFP, AP, Reuters et La presse canadienne.
Le service numérique La Presse+ remplacera le journal. Selon Guy Crevier, président et éditeur, la version numérique du journal lancée il y a 30 mois est consultée par plus de 460 000 personnes chaque semaine, ce qui en fait un véhicule « beaucoup plus performant » que la version papier.
Le virage technologique se traduira certainement en perte d'emplois, ce que Crevier refuse de commenter avant le 24 septembre. Cependant, il justifie la décision par la diminution des revenus publicitaires de l'ancien modèle.
« On ne peut pas continuellement vivre dans un monde qui est en déclin, il faut trouver un autre modèle d'affaires. »
Gesca, une filiale de Power Corporation (la multinationale contrôlée par la famille franco-ontarienne Desmarais) possède La Presse. Plus tôt en 2015, Gesca annonçait la vente de ses six journaux régionaux au groupe Capitales médias.
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