Mike Deschamps
Hydro-Québec ne sera plus la seule entreprise sur le banc des accusés à conclure des affaires avec des entreprises de l’état sioniste. On se rappellera de l’intervention très juste de Manon Massé [i] sur l’entente entre Hydro-Québec et son nouveau partenaire Israel Electric Corporation. Une entente que rien ne semblait gêner : ni l’expropriation des terres, ni les conditions de vie des gazzaouis, et encore moins la détention d’enfants dans un état qui se fait le gardien d’une prison à ciel ouvert.
Le journal communautaire « Canadian Jewish News » annonce dans un article publié le 17 octobre dernier [ii] que la Banque Royal investira 2 millions de dollars dans une compagnie « high-tech » dans le désert du Néguev. La RBC qui semble vouloir se ranger du côté des puissants avait déjà envoyé son président, David McKay, en 2017 à une réunion du très mondialiste Bilderberg [iii]. Il n’y a donc rien de surprenant dans le fait que la RBC travaille avec une entreprise appartenant à l’état sioniste.
Le but de ce partenariat est le développement de la cyber sécurité. C’est l’Université Ben Gurion qui a été désignée pour être le partenaire de recherche. C’est lors d’un voyage organisé par un des lobbys israélien au Canada, le CJA, que le haut-placé de la RBC, Tony Lofredda avait visité l’Université Ben Gurion[iv] afin de conclure une entente.
[i] https://www.youtube.com/watch?v=aCoatRZV-aE&t=252s
[ii] http://www.cjnews.com/news/canada/royal-bank-invests-2-million-in-negev-high-tech-hub
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