La racaille antifasciste, idiote utile du Capital dont le niveau de culture politique est proche du niveau zéro, a une nouvelle fois tenté d’intimider notre journaliste de terrain, Michael Lauzon, qui se trouvait dans le cadre d'un kiosque d'informations à propos de la Société Saint-Jean-Baptiste.
Michael Lauzon
Aujourd'hui, j'étais présent au pavillon Judith-Jasmin dans le cadre d'un kiosque d'information à propos de la SSJB. Vers environ 13h de l'après-midi, on a porté à mon attention que se trouvait, sur une page facebook antifasciste de l'UQÀM, une photo de moi laissant penser que j'étais un gars d'extrême-droite représentant une association d'extrême-droite. On a invité les gens abonnés à cette page à me rendre visite et afin de me laisser savoir leur façon de penser.
Bien entendu, j'ai eu la visite de 3 antifascistes qui m'ont approché avec méfiance après avoir bien vu dans leur regard suspicieux à mon égard. Je les ai donc invités à venir me jaser, ce qu'ils ont fait. Bien que l'un des trois ait foutu à terre le drapeau du Québec qui arborait notre kiosque, les autres ont tenté d'argumenter avec moi. Je n'ai pu constater que ces derniers n'avaient rien d'autre à nous reprocher autre que "la question de l'identité nationale sous-jacent à la lutte pour l'indépendance était un projet de nationalisme blanc et d'extrême-droite"; d'où le fait l'indécence de notre présence dans la noble institution de l'UQÀM. Je n'ai pas manqué de leurs poser la question à savoir: mais quelle est votre identité, comment vous définissez-vous? Ce à quoi on m'a répondu qu'ils ne se définissaient pas par les étiquettes qu'on leurs appose. Et bien, après coup, vous me voyez ébahit de la faiblesse de cet argument. Ils font envers nous exactement ce qu'ils dénoncent chez nous: accoler des étiquettes.
En plus, dois-je souligner que leur lutte contre la haine de l'extrême-droite n'a pas de commune mesure avec l'incitation à la haine que les commentaires de cette page facebook prônent?
Bref, je ne me laisserai pas marcher sur les pieds et je dialoguerai tant que ce sera possible. Le reste, je laisse ça au tribunal de l'histoire et de leur conscience.
Mission accomplie ? Il y avait donc bien une mission qui consistait à faire partir Michael Lauzon. Quelle méthode utilise t-on pour faire "décalisser" quelqu'un ? La seule que cette racaille connaisse : l'intimidation. Ce commentaire de BASH UQAM démontre une chose, pour ceux qui en doutaient encore, ils sont partisans de la violence afin d'imposer leurs idées, donc partisans des méthodes fascistes. La Meute ? Les antifas ? Les deux faces de la même pièce.
Commentaires
P.S. Compte tenu de leur violence, je vous recommendrais de vous munir d'une micro-caméra discrète que vous pouvez dissimilé sur vous et ainsi capter les visages de ces moineaux. C'est un outil indispensable quand vient le temps de porter plainte à la police. La seule façon de civiliser ces marxistes de centre d'achats qui n'ont jamais ouvert un livre de Marx, c'est de faire tomber leur sentiment d'impunité, résultat de trop d'années de laisser faire de la part de leurs trop nombreuses victimes.
Vous gagnez en expérience. Ces jeunes gens vous en ont donné l'occasion.
La patience doit s'exercer dans l'immédiat et dans le temps. Ne pas faire de cas de ces gens malheureusement dégénérés mais simplement dénoncer leurs contradictions est intelligent et perspicace.
Le roc sur lequel on doit s'appuyer est le bon-droit, ou pour un catholique, Jésus, qui est la verité.
Bonne continuation!
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