Note du Bonnet : le Capital triomphe toujours par l'oppression patriarcale, c'est bien connu !

Le Sun a enquêté sur les conditions de fabrication de la marque de Beyoncé, Ivy Park. 

“Beyoncé dit vouloir encourager et inspirer les femmes avec sa marque de vêtements de gym Ivy Park -et Topshop affirme qu’elle ‘rend les femmes plus puissantes à travers le sport’. Mais les couturières touchées par la pauvreté qui fabriquent certains de ces vêtements dans les usines de MAS Holdings au Sri Lanka gagnent seulement 4,30 livres par jour (Ndlr: environ 5, 50 euros). Il leur faudrait plus d’un mois de salaire pour s’offrir une paire de leggings de Beyoncé à 100 livres. Les travailleuses, pour la plupart de jeunes femmes originaires de villages pauvres et ruraux, ont seulement de quoi vivre dans des foyers et travaillent plus de soixante heures par semaine pour joindre les deux bouts. La plupart ne souhaitent pas prendre la parole, de peur de perdre leur job.”

Le tabloïd britannique The Sun a mené l’enquête au Sri Lanka pour connaître les conditions de fabrication des vêtements Ivy Park, la marque lancée par Beyoncé au mois d’avril. Et les résultats sont, sans surprise, assez édifiants.


Source : Cheek Magazine