Les gouvernements français et belges peuvent aisément être accusés de ne rien avoir fait pour lutter réellement contre l’Islam radical qui serait à l’origine des attaques terroristes de ces derniers mois. Pour cela, il faudrait cesser les relations diplomatiques avec les pays considérés comme étant ceux qui financent le terrorisme islamique sur la planète, ce qui n’est pas le cas, bien au contraire, rien qu’en France, on leur remet la légion d’honneur comme cela est arrivé dernièrement avec un prince saoudien.
Pourquoi ces gouvernements laissent-ils le Qatar financer les mouvements musulmans en France et en Belgique sachant que le Qatar n’est pas reconnu comme étant un pays prônant un Islam modéré? Ce qui est le cas en Belgique comme l’explique cet article du journal Levif.be:
Le Qatar et le Koweït financent la Ligue des musulmans de Belgique
Marie-Cecile Royen
En 2014, la Ligue des musulmans de Belgique (LMB) a reçu 1 081 940 euros de la Qatar Charity et 159 327 euros de la Kuwait Charity.
Le Qatar et le Koweït financent la Ligue des musulmans de Belgique
Cette association sans but lucratif a déposé ses comptes annuels pour la première fois, le 23 septembre 2015, au greffe du tribunal de commerce francophone de Bruxelles, où Le Vif/L’Express les a découverts.
. Installée à Saint-Gilles, la LMB est l’organisatrice de la Foire musulmane de Bruxelles, à Tours & Taxis. Elle est aussi la coupole des associations belges se réclamant du « réformisme musulman contemporain ».
Le Vif/L’Express n’a pas réussi à obtenir des responsables de la LMB des renseignements sur l’usage de l’argent du Qatar et du Koweït qui, cette année-là, en 2014, a porté son actif à un montant total de 1 205 034, 97 euros. Les comptes de l’asbl mentionnent vaguement un « projet Bruxelles » (montant: 138 500 euros) et des « projets Anvers » (montant : 750 000 euros). La LMB a cherché à acquérir, pour un million d’euros, un bâtiment situé à Saint-Gilles, avec l’appui d’un conseiller de l’ambassade du Qatar, qui se portait garant. Ce projet n’a pas abouti car la commune a fait usage de son droit de préemption en évoquant un projet d’utilité publique : la création d’un centre d’entreprise éligible au Fonds européen de développement régional (Feder).
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