Dans un article publié aujourd’hui par le Journal de Montréal « Vérification des faits: non, le vaccin de Pfizer ne modifie pas l'ADN et ne rend pas les femmes stériles » il est expliqué que :
« Selon de nombreuses publications, un haut cadre scientifique de Pfizer a affirmé que le vaccin est « une stérilisation des femmes », car il inciterait l’organisme à attaquer une protéine qui joue un rôle dans la formation du placenta, la syncytine-1.
Non seulement aucun élément scientifique ne vient étayer cette théorie, mais elle est de plus biologiquement hautement improbable, ont expliqué plusieurs experts à l’AFP. Via une molécule d’ARN messager, le vaccin apprend à l’organisme à cibler une protéine précise, la protéine S du Sars-CoV-2, qui ne partage pas assez de ressemblances avec la protéine syncytine-1 pour que les anticorps se « trompent ».
Si cela était possible, les femmes ayant été infectées par le Sars-CoV-2 seraient devenues infertiles, ce qui n’est pas le cas, rappellent aussi les scientifiques interrogés. En outre, le scientifique en question ne travaille plus pour le géant pharmaceutique depuis plusieurs années. »
Et pourtant selon le site gouvernemental britannique assets.publishing.service.gov.uk qui publie de la documentation officielle indique dans un rapport « REG 174 INFORMATION FOR UK HEALTHCARE PROFESSIONALS » qu’on ne sait pas si le vaccin (thérapie génique) COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 a un impact ou pas sur la fertilité.
A force de vouloir avoir le monopole de la vérité, le JDM fini par tomber dans la propagande.