19.09.2018 - L'extrémisme islamiste pointé du doigt. À quand un rapport sur les crimes commis au nom des Droits de l'Homme ?

Note du Bonnet : « Un organisme a récemment publié un rapport sur les crimes commis au nom d'Allah. Les chiffres sont inquiétants. » nous dit-on. Y a t-il un organisme qui aura le courage de publier un rapport sur les crimes commis au nom des Droits de l’Homme ? Pointer du doigt l’islam radical est légitime puisqu’il s’agit d’un problème sérieux tant en Occident qu’au Moyen-Orient mais cela permet également de ne pas évoquer toutes les bavures commises au nom des Droits de l’Homme sans qui l’islam radical n’aurait pas sa place à l’échelle de la géopolitique internationale. Rappelons que l’islam radical est encouragé par Israël qui bombarde les positions anti-terroristes en Syrie, financé par les voyoucraties du Qatar et de l’Arabie Saoudite, armé par des pays européens comme la France ou les Pays-Bas et financé par les Etats-Unis  par l’intermédiaire d’Al-Nosra mieux connu sous le nom d’Al-Qaïda. L’oligarchie mondiale profite d’une scission au cœur de l’islam pour redessiner la carte du Moyen-Orient, s’affirmer  sur le plan internationale au nom des Droits de l’Homme et imposer une surveillance globalisée des peuples d’occidents qui n’aurait aucune légitimité si le terrorisme islamique n’existait pas. Quand on comprend cela, on comprend qu’il n’y a aucun intérêt à stopper le terrorisme islamique.

 

Des statistiques présentées dans un rapport publié par le Tony Blair Institute for Global Change (TBIGC) montrent que l'islam extrémiste devra tôt ou tard être pris au sérieux par la communauté internationale. Le rapport fait état de la présence de 121 groupes islamistes dans le monde qui, par leurs actes, ont entraîné la mort de 84 000 personnes en 2017, dont près de 22 000 civils, et ce, dans 66 pays.

Il est évident que la Syrie occupe une place de choix dans ces statistiques. Vingt-neuf groupes islamistes y étaient toujours actifs l'an dernier, indique le rapport, avec au premier rang l'État islamique qui comptait pour 44 % de toutes les attaques qui y ont été perpétrées. La moitié des décès de civils enregistrés dans le monde ont d'ailleurs été répertoriés en Syrie.

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