25.05.2018 - Le lobby LGBTQ de la GLAAD accuse Hollywood de produire de moins en moins de films avec des homosexuels

La pression homosexualiste de la GLAAD, l’association américaine Gay & Lesbian Alliance Against Defamation, a pris une nouvelle dimension avec la publication de son « Studio Responsibility Index » pour 2017, qui classe les films en fonction de leur inclusion de personnages et de thèmes homosexuels. Ce sixième rapport condamne Hollywood pour la baisse globale de cette présence homosexuelle dans ses productions. « Nous avons relevé une nette chute du nombre de films comprenant des éléments LGBTQ distribués par les grands studios en 2017, à 14 contre 23 l’année précédente », déplore la GLAAD, « plus bas niveau » depuis que l’association militante a lancé sa surveillance, en 2012. Pour faire bonne mesure, le lobby larmoie sur « l’absence complète de personnages transgenres dans les productions des plus grands studios ». Répliquant à ce réquisitoire, des militants des droits de la famille ont relevé que la GLAAD oublie que le pourcentage des productions hollywoodiennes comprenant des personnages homosexuels dépasse toujours – et de façon considérable – le pourcentage de gays et de lesbiennes dans la vraie population.
 

La GLAAD exige que les grands studios produisent 50 % de films comprenant des personnages LGBTQ en 2024

Nonobstant, la GLAAD exige que les sept plus grands studios, dont elle qualifie les productions de « pauvres », « défaillantes » ou « insuffisantes », prévoient systématiquement « un pourcentage de 20 % de productions comprenant des personnages LGBTQ à l’horizon 2021 » et même « de 50 % à l’horizon 2024 ». Rien de moins. 20th Century Fox, Lionsgate, Paramount, Sony, Universal, Walt Disney et Warner sont prévenus. La GLAAD déplore aussi que « les personnages LGBTQ demeurent presque totalement exclus des films comiques à gros budgets » alors qu’ils se multiplient dans les bandes dessinées telles que Wonder Woman, Thor : Ragnarok, Guardians of the Galaxy. On tremble toutefois à l’idée qu’un film d’humour mette en scène un personnage gay en le raillant : les avocats de la GLAAD pourraient se remplir les poches. La GLAAD, qui se pose en Anastasie du scénario, estime que le film consacré à Wonder Woman aurait dû prendre en compte la décision de son créateur Greg Rucka, prise en 2016, de la décrire bisexuelle. « Etre une femme bi assumée aurait été dans la ligne de ses idéaux, vivre sa propre vérité et reconnaître toutes les facettes de sa personnalité », stipule le rapport.

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