05.03.2018 - Le problème nazi du Canada

Le 16 janvier 2018 s’est tenu à Vancouver un événement important dans l’histoire du Canada. Le rôle traditionnel de maintien de la paix du Canada dans les relations internationales a été relégué dans les poubelles de l’Histoire, la ministre canadienne des Affaires étrangères Chrystia Freeland a entrainé la « communauté internationale » dans un chant de guerre et de génocide contre la Corée du Nord. Cependant, le plan ne portait pas tant sur la Corée du Nord aussi simplement que le rassemblement autour de Freeland a essayé de le faire paraître. Les notes manquantes ce sont les harmonies qu’une oreille bien entraînée peut entendre sans être chantées : la Russie et la Chine, remarquablement absentes de la conférence malgré de grands progrès pour la paix dans la péninsule coréenne dans les mois qui ont précédé le rassemblement de Vancouver.

 

Pour ceux qui écoutent, je vous demande, lecteur, ce qui se cache derrière la chanson « La Corée du Nord est un danger existentiel pour l’humanité ? ». Quand la mélodie tonne dans votre tête, comme une chanson ennuyeuse dont ne peut se débarrasser, vous devenez conscient de ce qui se passe réellement. Pour quiconque a une mémoire remontant à plus de 20 ans, ce qui n’existe malheureusement presque plus aujourd’hui dans le mouvement anti-guerre, la chanson de guerre de Freeland rappelle étrangement celle de Tony Blair sur les armes de destruction massive irakiennes, chuchotant à l’oreille de Bush Jr., ou de Colin Powell, la chanson sur l’uranium enrichi.

Freeland, chef de cette chorale guerrière cette année, a clairement joué le rôle de chef d’orchestre. Ses manières à la table d’honneur, qu’elle partageait avec les autres leaders mondiaux, étaient désagréablement désaccordées, principalement à cause de ses gestes exagérés d’amitié et de générosité.

Quelques jours après que Freeland et Tillerson ont annoncé la réunion depuis Ottawa en décembre 2017, Freeland s’est rendue dans sa patrie, en Ukraine.

Puisque nous parlons de la possibilité de la Troisième Guerre mondiale, je pense qu’il pourrait être pertinent de revisiter une histoire peu connue de la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1960, le gouvernement polonais, encore sous le choc de son rôle de principal dans la « boucherie » en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale, chassait les soutiens et les partisans nazis. Contrairement à ce que les lecteurs de la presse officielle sont autorisés à savoir, des chefs de file nazis et Waffen SS de la Seconde Guerre mondiale, notamment les éditeurs et les rédacteurs de Goebbels (connus sous le nom de propagandistes) des collaborateurs nazis de leur plein gré et des meurtriers, ont quitté l’Allemagne défaite pour les États-Unis et le Canada. Le Canada, sous la direction du MI-6, en a pris 2000. La plupart d’entre eux ont fait leur chemin vers l’Ontario et l’Alberta. L’un d’entre eux est même devenu le président de l’Université de l’Alberta. Je le répète, l’un d’entre eux est même devenu le président de l’Université de l’Alberta. Juste au cas où ce ne serait pas clair, c’est un ancien soldat des Waffen SS, devenu président de l’Université, qui a créé le département des études ukrainiennes à l’Université de l’Alberta, d’où il a piloté un projet d’histoire révisionniste ukrainien, l’encyclopédie ukrainienne.

Michael Chomiak, un de ces nazis importants qui n’a jamais été capturé, a vécu après la guerre comme fermier en Alberta. Ses documents d’identification nazis ont été dévoilés par le gouvernement polonais dans les années 1960. « Les dossiers de Chomiak montrent qu’il a été formé à Vienne pour des opérations d’espionnage et de propagande allemandes, puis promu pour diriger la machine de presse allemande pour la région galicienne d’Ukraine et de Pologne pendant l’occupation de 4 ans. Chomiak était si haut placé et actif dans la cause nazie que les services de renseignement polonais le recherchaient activement jusque dans les années 1980 – sans savoir qu’il avait filé dans une ferme en Alberta au Canada. ». 1. La Pologne était sur ses traces mais les ont perdues parce qu’il était bien caché par les « alliés » de la Seconde Guerre mondiale, les Britanniques, les Américains et les Canadiens à l’insu de mes pacifiques concitoyens canadiens.

Qu’avons-nous aujourd’hui, après toutes ces décennies ? Comme l’a démontré le long travail de Pers Anders Rudling, nous avons un renouveau du nationalisme dans le monde entier. La plupart des observateurs des médias dominants alimentés à la bouillie pour chien et des citoyens canadiens honnêtes devraient être à juste titre sceptiques et incrédules face à cette information comme quoi le Canada a un problème avec le nazisme aujourd’hui. Comment n’avons-nous pas su ou vu venir cela avant ? Sûrement, on nous l’aurait dit ?! J’ai ressenti la même chose quand j’ai découvert que les racines ukrainiennes de mes voisins de Winnipeg étaient liées aux Nazis, ou que mes souvenirs d’enfance de jeux et d’amusement étaient maintenant entachés du sang de millions d’innocents des mains des racistes les plus rancuniers et calculateurs qu’a connus la planète. Vous devriez être sceptique certes, mais je dirais que vous méritez d’en savoir plus.

Qui est Michael Chomiak ? Il est mort maintenant, mais sa mémoire demeure dans l’esprit de sa famille. Avec toutes les cérémonies ritualistes révisionnistes vénérant la mémoire de ces « combattants de la liberté » au cours des décennies qui ont suivi la réécriture de l’encyclopédie ukrainienne par l’Université de l’Alberta, opposant les apologistes staliniens aux apologistes hitlériens, nous avons plus qu’un problème avec le nazisme dans le monde et en particulier au Canada : nous avons un problème d’extrême gauche/extrême droite. Il n’y a qu’UNE porte de sortie à ce problème. Mais je digresse.

Chomiak, comme vous pouvez le constater grâce aux liens fournis, est le grand-père de Chrystia Freeland, l’actuelle ministre des Affaires étrangères du Canada. Celle qui tente de mener le battage des tambours de guerre contre la Corée du Nord – et qui fait la même chose à l’endroit du Venezuela. Je ne le répéterai pas – mais je devrais le faire. Ne soyez pas dupes ! La réunion de la ministre Freeland à Vancouver ne portait pas vraiment sur la Corée du Nord, pas plus que sur les sanctions à l’encontre du Venezuela. Le Venezuela, la Corée du Nord, la Syrie et beaucoup d’autres théâtres de guerre américains à travers le monde visent réellement la Russie et la Chine. Le véritable ennemi de Freeland, c’est la Russie. Est-ce vraiment surprenant ? C’est dans son sang. Tout allié de la Russie est également sur la liste des pays ciblés par Freeland.

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Commentaires   

 
0 #1 bonyenne 06-03-2018 01:01
Salut , la 3ieme guerre se dessine ainsi...c'est un remake d'il y a 100ans que veut recréer les marchands d'armes et leurs amis.

Les débiles mégalomanes et mentalement gravement lobotomisés qui gouvernent le G-20 ont déjà commencé leur partie de poker tordu. En Syrie!

Tu n'as qu'a faire une liste des pays Freeland VS les pays qui veulent détruire Freeland

Reconstruire L'empire Ottoman et Reconstruire La grande Russie...voila!

ALORS UN BON CONSEIL MON AMI...PARTAGE ET COMMUNIQUE CE QUE TU SAIS MAINTENANT AU PLUS GRAND NOMBRE D'ETRES HUMAINS SUR TERRE AVANT QUE " LE PROCHAIN 11 SEPTEMBRE ARRIVE"

C'EST LA SEUL FACON DE POUVOIR ARRETER CETTE FOLIE
HUMAINE ET DE BATIR ENFIN UN MONDE QUI EMBRASSE L'AMOUR AU LIEU DE L'ARGENT

NOUS EN SOMMES LÀ , LE 6 MARS 2018 EMBRASSER OU EMBRASER LA TERRE

NOUS

a bon entendeur salut
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