10.12.2017 - Trump réussit l’improbable : fédérer les 101 factions palestiniennes du Liban

Le plus grand camp palestinien du Liban a manifesté hier contre la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, avec les armes, mais sans violence.

Ils ont tous répondu à l’appel du « Jour de la colère », vieillards et enfants, femmes et hommes, miliciens armés jusqu’aux dents et civils. Tous étaient là pour scander « Jérusalem, capitale de la Palestine », au son de chants patriotiques tonitruants. Les minuscules rues tortueuses et cahoteuses du camp de Aïn el-Héloué, à Saïda, le plus grand camp de réfugiés palestiniens du Liban, étaient si bondées de monde, dans l’heure qui a suivi la prière de midi à la mosquée al-Nour, qu’il devenait quasiment impossible de s’y tenir debout.

Comme tous les autres camps du Liban, et dans une bonne partie des mosquées et des quartiers des grandes villes, Aïn el-Héloué s’est mobilisé pour crier son refus de la décision prise, mercredi dernier, par le président des États-Unis Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, et d’y emménager l’ambassade de son pays. La profonde peine causée par ce énième choc subi par les Palestiniens était lisible sur tous les visages.

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